Une nuit de folie \!/ 18+ \!/

Il plongea son regard dans le mien sans doute à la recherche d’une réponse. Il ne répond jamais à ma question. Il me bloqua à nouveau entre lui et le mur, puis me souleva un peu avant de passer sa main sous ma jupe.
Ah les mecs toujours pressé, pensais-je
Malgré moi je ne peux retenir mes gémissements qui commencent à se faire audible pour lui. Il me fait taire en plaquant à nouveau sa bouche contre la mienne.
-J’ai une meilleure idée.
Il m’entraine jusqu’au bout du passage où il soulève la tuile du plafond et m’aide à y grimper, il me laisse passer en premier sans doute pour jeter un coup d’œil sous ma jupe. Je me retrouve dans une salle du château. Je savais que se passage ramenait au château, mais je n’avais jamais réellement sut où il menait. Oh putain... nous étions dans la salle de métamorphose. Il m’attira à lui par les hanches avant de me demander d’une voix à peine audible.
-Ici fera l’affaire, non ?
Je ne verrais jamais plus cette salle de classe de la même façon, pensais-je.
Je le poussai contre une des tables pour qu’il s’asseye. Je me penchai tout en plongeant mes yeux vairons dans les siens je lus dans son visage ce qu’il voulait mais d’abord et avant tout... je devais me débarrasser de mes stupides talons. Maintenant libéré, je pris mes cheveux et les attachai à l’aide de l’élastique que je conservais toujours autour de mon poignet.
Je fis glisser mes mains le long de ses cuisses avant que mes doigts n’atteignent le bouton de son pantalon et ne le défasse. Je le lui décendit jusqu’au genoux avant de remarquer une bosse maintenant bien visible dans son boxer.

-Que la partie commence monsieur England, dis-je un sourire en coin aux lèvres.

Sa volonté et sa détermination m'excite. Elle me pousse contre une table, comme pour que je m'y assois. Je m'exécute donc. Elle se penche lentement en me regardant dans les yeux. J'adore ça. Elle retire ses chaussures, ce qui me glisse un petit sourire au passage. Ses mains glissant lentement le long de mes cuisses accélèrent mes halètements. J'ai déjà une bonne bosse dans mon pantalon depuis que nous sommes dans ce passage secret. Elle n'aura donc aucune difficulté. Sa main se pose ensuite sur le bouton de mon pantalon et le détache en un clin d’œil. Elle me débarrasse à moitié de mon vêtement, laissant maintenant voir très évidemment mon membre gonflé au travers mon boxer.

Que la partie commence monsieur England, dit-elle sur un ton visant à exciter n'importe quel homme.

Ma respiration et mon poulx s'accélèrent de plus en plus alors que mon corps commence à devenir fiévreux. Allez Anita, fais-moi en voir de toutes les couleurs... Je glisse mes mains dans ses cheveux et je les tire un peu, juste assez en fait.

Je te veux depuis si longtemps, murmurais-je d'un ton qui en disait long.

Mon membre tendu ne s'en peut plus d'attendre ses agissements, tout bonnement caché dans ce sous-vêtement le retenant. Pour accélérer les choses, je débarrasse Anita de son chandail, et en profite pour regarder sa poitrine bien rebondie dans son soutien-gorge. Elle est parfaite. Si elle n'était pas une Serpentard.

Bien des gens se demandais ce que je faisait à Serpentard, oui je savais manipuler les gens pour arriver à mes fins, oui j’avais un égo démesurer et oui j’étais quand même un sorcière assez puissante, mais j’étais ouverte d’esprit et peu favorable à l’esprit de conservation des sang pur, mais pour le moment tout ce qui était important à savoir c’était que j’étais une fille avec des envies et pulsion et que je me retrouvait dans une salle avec un des garçons les plus demander de Poudlard et il n’était pas si mal je devais l’avouer.

J’étais toujours à ses genoux lorsqu’il me retira mon chandail. Je savais que ma poitrine en faisait fantasmer plus d’un dans ce château, mais pour le moment je savais qu’il avait du mal avec son érection déjà bien apparente et d’après la grosseur de la bosse de son pantalon je pouvais estimer qu’il en avait une faisant partie de la moyenne à la hausse, mais sa... il n’avait qu’une seule façon de le confirmer. Je le sentis aussi agripper mes cheveux et franchement cela m’excitait. Les deux choses qui m’allumait le plus était tout ce qui avait attrait avec mes cheveux ou encore les baisers dans le creux du cou... combiner je ne réponds plus de mes actes. Je plaquai ma main droite sur la bosse de son pantalon et commençant à en effectuer un frottement reproduisant la forme de son membre à l’intérieur de son sous-vêtement. Je finis par me lasser et le sortis, à son plus grand soulagement de son boxer. Je commençai un lent vas et vient puis je commençai à approcher ma tête tranquillement de son membre. Au bout de quelques minutes, je finis par le prendre en bouche, tout d’abord que le gland, puis petit à petit j’allais de plus en plus loin jusqu’à le prendre complètement en bouche.

Elle regarde mon membre avec désir, je le vois et je le sens. Cette partie de jambes en l'air risque de s'avérer fort intéressante... Puis, sa main se pose par-dessus mon boxer pour caresser mon membre. Je me mords la lèvre inférieure, rempli de désirs. En fait, je me retiens pour ne pas la tourner et la prendre à l'instant. Je prends de grandes inspirations, quelque peu bruyantes. Mais bon, il faut bien que je me contienne encore un peu... Après quelques minutes à me caresser par-dessus mon sous-vêtement, elle s'empresse de me l'arracher. Il faut croire qu'elle aussi est pressée. Mon membre, soulagé de sa prison, se dresse bien droit devant elle maintenant. Ses mains se reposent à nouveau dessus, entamant un discret mouvement de va-et-vient. Si ça continue, je vais me mordre la lèvre jusqu'au sang bordel ! Elle est vachement douée ! Elle y met tout juste la bonne pression, et son rythme est parfait. Cependant, je n'ai pas le temps d'en profiter, car c'est maintenant sa bouche qui s'approche d'un air aguicheur de ma verge. Sa bouche se pose délicieusement sur mon gland, m'arrachant un petit gémissement, à peine audible. Ma main toujours dans ses cheveux, je la laisse aller à son rythme. Je trouve que c'est affreusement manquer de respect à une femme que de lui pousser la tête lors d'une fellation. Comme je m'y attendais, ma patience porta fruit. Sa bouche s'empare complètement de mon sexe, augmentant mon rythme cardiaque, et de ce fait-même, accélérant la circulation sanguine dans mon corps. Elle a donc droit à un membre bien dur, qui est à la hauteur de son talent.

Après quelques minutes de ce divin traitement, je lui repousse doucement la tête. Je refuse de lui venir dans la bouche à notre première baise. Je pose délicatement les doigts sur son menton et lui relève tranquillement la tête vers moi. Je perds mon regard dans le sien, absorbé par sa beauté. Je descends de la table et remonte son corps contre le mien. Ma bouche s'empare de la sienne, en la parant de baisers langoureux. Mes mains descendent d'elles-mêmes pour aller lui retirer sa jupe, la laissant en sous-vêtements devant moi. Je me recule de quelques pas pour l'admirer. Je dois encore une fois résister à l'envie de ne pas la prendre à l'instant. Je rapproche à nouveau son corps du mien, et glisse mes mains dans son dos pour lui retirer habilement son soutien-gorge, dévoilant une poitrine bien rebondie et généreuse. Elle est la perfection incarnée merde ! Une de mes mains s'empare de l'un de ses seins, le tripotant habilement, alors que l'autre va se faufiler dans sa petite culotte. Je caresse un instant la peau douce de son sexe, avant d'y introduire un doigt. C'est très serré, ce qui m'étonne, puisque je sais qu'elle couche avec pas mal tout le monde, mais ça me plait. J'insère donc un deuxième doigt et commence lentement à les agiter en elle, alors que mon pouce se charge de son petit bouton de chair si sensible. Je respire de plus en plus fort. Ma bouche va se poser d'elle-même dans son cou, pour aller y déposer de petits baiser fiévreux. Une main sur son sein et l'autre sur son sexe, elle est rapidement bien humide, à un tel point que ça doit probablement lui dégouliner contre les cuisses.

Les rôles venaient d’être inverser, j’étais maintenant à sa mercis. Je me retrouvais vite en sous-vêtements devant lui, mais je savais que sa ne durerait pas longtemps.il pris possession de mes lèvres se qui me surpris un peu, la majorité des garçons avec lesquels j’avais couché refusait de vous embrasser après que vous ayez eu la bouche sur leur membre. Je me retrouvais bien vite seins nue contre lui puisqu’il défit habillement mon soutien-gorge. Je savais qu’il se retenait pour ne pas me sauter littéralement dessus une de ses mains atteignis ma poitrine pendant que l’autre s’occupait de mon antre qui avait commencé à s’humidifier depuis déjà plusieurs minutes. J’étais en pleine possessions de mes moyens tant qu’il ne.... oh. Ses lèvres était contre mon cou, il se mit a me pénétré d’un puis de deux doigts tout en laissant ses lèvres contre mon cou. J’allais flancher je sentais déjà mes jambes ramollir et commencer à trembler. Je passai mes mains sous son t-shirt et le remontait le forçant à quitter ses occupations pour me permettre de le lui retirer...il était foutrement bien foutu. Je laissai mes doigts tracer les lignes de ses abdominaux tranquillement en y mettant toute la concentration que j’avais à ce moment en ma possession. Je relever mes yeux vers lui puis me saisit de sa bouche avidement. La sensation de son torse contre ma poitrine m’allumait au plus haut point. Je me sentais si humide que je croyais en avoir qui me coulait entre les cuisses se qui me gênait. Je ne réussirai plus a me contenir très longtemps avant de lui sauter dessus.

Je la sens trembler contre moi, comme si ses jambes ne pouvaient plus la soutenir. J'ai trouvé son point faible, tant mieux. Cependant, elle ne tient pas très longtemps. Elle entreprend de me débarrasser de mon chandail, ce qui me fait sourire. Je crois que c'est la première fois qu'une fille flanche aussi rapidement sous mes mains et ma bouche. Je suis maintenant complètement nu devant elle. Je la vois regarder mon torse, puis frissonne alors qu'elle trace la ligne de mes abdominaux bien fermes. Aucune fille ne résiste à cela. Je le sais bien. Pourtant, je ne les montre pas. Je ne désire pas obtenir des filles grâce à mon corps, je trouve que les baises sont moins intenses dans ces moments-là. Elle remonte ensuite son visage vers le mien et mes yeux se perdent dans son regard. Mon coeur recommence à s'agiter alors qu'une drôle d'émotion prend contrôle de mon corps en entier. Sa bouche s'empare alors de la mienne, et mes mains vont trouver leur place dans le creux de ses hanches. Nos corps ainsi collés l'un contre l'autre, c'est comme si le temps s'était arrêté... Je sais ce qu'elle est. Je le sais bien. Elle a eu tant d'hommes en usant de ce pouvoir et pourtant... Pourtant ce n'est pas comme ça qu'elle m'a obtenu.

Tu es parfaite Ani, murmurais-je entre deux baisers. Si tu n'étais pas une Serpentard, tu pourrais devenir probablement plus qu'une partenaire de baise.

Je sais que je n'aurais jamais du dire ça. Ça va probablement la dégoûter, ou alors la faire éclater de rire. Mais bon, l'alcool dans mon sang m'empêche de réfléchir comme je le voudrais. Bien sûr que cette fille est totalement mon genre ! Je l'ai toujours désirée. Pour sa personnalité, qui, malgré mon orgueil, est l'idéal pour moi. J'intensifie les baisers, puis, je la retourne et la couche contre le bureau. Mes doigts retrouvent le chemin de son intimité, pour la pénétrer rapidement. Je voulais seulement m'assurer qu'elle était encore humidifiée, question de ne pas lui faire mal. Mais de ce côté-là, je crois que je n'ai pas à m'en faire; ça dégouline réellement sur ses cuisses ! Je me penche sur elle, et dépose un dernier petit baiser dans son cou.

Oublies ce que je t'ai dit, murmurais-je près de son oreille avant de lui mordiller.

Je me redresse, mettant mes mains sur ses hanches et me positionnant à l'entrée de son intimité. Puis, je laisse mon membre y entrer doucement. C'est très serré, et ça m'arrache un gémissement. J'adore ça. Une fois bien installé, je commence un lent mouvement de va-et-vient, que je ne peux m'empêcher d'accélérer rapidement. Mes coups de hanches se font bien plus sauvages que je le voudrais.

J’étais contre lui j’allais bientôt perdre le peu de volonté qui me restait.
Tu es parfaite Ani... Si tu n’étais pas à Serpentard, tu pourrais devenir probablement plus qu’une partenaire de baise.
Ma maison... tout se rapportait toujours à ma maison oui les Serpentard était tant des être de pierres serais-je dans une salle de classe avec lui en ce moment même... je ne crois pas. Pourquoi Poudlard croyais que si j’étais à Serpentard, j’étais tout simplement mauvaise, je n’étais pas comme mes collègues.
Il se décolle de moi avant de m’étendre rapidement sur la table et de plonger un doigt en moi, me faisant gémir.
Oublies ce que je t’ai dit
Je ne sais pas si je devais me sentir insulté ou si au contraire je ne devais pas y faire attention. Il me pénétra doucement m’arrachant un long râle de plaisirs puis il commença un mouvement de vas et viens devenant de plus en plus rapide. Je m’agrippai à lui gémissant de plus en plus souvent et de plus en plus fort. Si sa continuait comme ça j’allais sans doute alerter A) un préfet B) un prof C) un directeur et je pouvais vous assurer que ce ne serait pas beau a voir si je ne me.... ah! Un frisson me parcouru le dos j’allais bientôt atteindre un orgasme qui allait s’annoncer fort ravageur. Je le sentis ralentir la cadence.

-Ne t’arrête pas, dis je dans un gémissement presque inaudible.

Son premier gémissement de plaisir me fait frissonner. Alors je continue de maintenir une cadence rapide, et je suis satisfait de constater que ses râles se sont de plus en plus souvent et de plus en plus bruyants. Peut-être trop bruyants par contre, à un tel point qu'un professeur pourrait probablement s'en rendre compte et nous surprendre... Ce qui serait quelque chose d'assez gênant. Sauf qu'à l'heure qu'il est, ils dorment tous depuis quelques heures au moins ! Je commence à ralentir un peu le rythme, il faut dire que l'alcool m'empêche d'être aussi performant qu'à l'habitude...

Ne t'arrêtes pas, me lance-t-elle.

C'est à peine audible. Mais c'est parfait. Je donne encore quelques puissant coups de hanches, avant de me retirer. Je la retourne brusquement et l'oblige à s'asseoir sur la table. Je m'agenouille, et appose ma bouche contre son sexe bien humide. Voilà la partie dans laquelle j'excelle le plus. Et comme je la sentais sur le bord de l'orgasme, je voulais être sûr qu'elle en voit de toutes les couleurs. Je mordille son petit bout de chair. Après quelques minutes, elle commence à trembler de tous ses membres. Je sens alors son liquide vaginal couler dans ma bouche. Je l'ai eue. Mais moi, je ne suis pas encore venu.. Je me relève donc et la soulève dans mes bras. Je fais en sorte que ses jambes encerclent ma taille, et je la descends tranquillement, jusqu'à ce que mon membre la pénètre à nouveau. Je marche jusqu'au mur le plus proche et lui cogne le dos dessus. Je la pénètre avec force, la tête légèrement relevée afin que mon regard croise le sien.

Anita, murmurais-je d'un souffle avant de m'emparer de ses lèvres.

Je retiens son corps d'une main, et de l'autre j'empoigne ses cheveux au niveau de la nuque. Mon coeur bat la chamade, et un million d'émotions s'emparent de mon corps. Il faut toujours que je sois amoureux de gens qui me sont inaccessibles... Anita avait toujours été dans ma mire, en raison de sa personnalité, et ce soir, elle et moi autour de plusieurs bières-au-beurre m'a fait réaliser que je me cachais derrière ces émotions refoulées.

Et puis tu sais quoi? dis-je entre deux baisers fiévreux, sans pourtant arrêter mes coups de hanches qui lui arrachaient des râles de plaisir. Je me fiche complètement que tu sois à Serpentard, murmurais-je.

Je suis affreusement près de l'orgasme, et les mots se bloquent dans ma gorge. Je ne suis pas pour lui dire : Je t'aime Ani ! Elle va trouver ça... Comment dire ? Je crois qu'elle ne voudrait plus rien savoir de moi après cela. Mais pourtant... Mon corps qui la réclamait depuis si longtemps a enfin pu l'avoir, alors j'imagine que mon coeur peut l'avoir aussi... Ça en est trop, je gémis en éjaculant à l'intérieur d'elle. Merde, on a pas pensé à ça. Mais pour l'instant, ça ne me traverse pas vraiment l'esprit. Je m'écroule, la gardant dans mes bras. Je tombe sur le plancher de pierre froide, mais c'est à peine si je le sens. Je serre son corps contre le mien, humant le parfum de ses cheveux. Je prends quelques inspirations, histoire de me donner du courage, puis je me lance.

Au risque de paraître fou, murmurais-je en plantant mon regard dans le sien, je suis amoureux de toi, laissais-je tomber d'une voix assurée.

Oh putain... oh putain... OH PUTAIN. Je venais d’avoir un orgasme foudroyant que je me retrouvais contre le mur en train de me faire pénétrer si fort que je croyais qu’il allait atteindre mon cœur. Il finit par jouir à son tour et commença à perdre de ses forces en me tenant toujours contre lui avant de s’écrouler au sol. Je me tournai sur le coté tentant de reprendre une respiration normale. Je fermai les yeux une secondes le temps de respirer un peu.
Au risque de paraître fou, je suis amoureux de toi.
J’ouvris grands les yeux. Je détestais me retrouver dans ce genre de situation. La dernière fois c’était en quatrième année avec le mec qui m’avait valu le fameux surnom de Bloody Ani. Avais-je envie de retentez quelque chose au risque de me retrouver définitivement de mauvais coté, une fois de plus. Et lui serait il assez fort pour survivre au désastre de la vélane en moi... ;a peur voilà le sentiment que ses mots m’inspirait. Et moi pouvais-je délaisser mon mode de vie mouvementé et... libertins pour lui. Peut être, mais ... l’alcool... sa devait être l’alcool qui le faisait parler comme sa.
Je me relevai et enfilai ma jupe et mon chandail, avant de disparaitre.
-On en reparle quand tu seras ajeun... dis-je d’une voix mal assuré... contrairement à lui.

Et oui, je le laissais en plan, nu dans la salle de métamorphose. Je me serais tué d’être si froussarde. Je courrai vers la salle commune de Serpentard et en ce moment je me fichais d’être vue par quelqu’un ou non.

Elle ne répond rien. Je la fixe; elle a les yeux écarquillés. Génial, exactement la réaction que je croyais que j'allais écoper. Je détourne donc le regard, quelque peu mal à l'aise. À quoi j'ai pensé aussi en disant cela?

On en reparle quand tu seras ajeun, dit-elle simplement.

Puis, elle se lève, revêtit sa jupe et son chandail avant de s'enfuir prestement. Je soupire longuement. Pourquoi est-ce qu'il faut que toutes les filles me désirent, sauf celles que moi je désire ? Je me relève de peine et de misère, il faut dire que oui, j'ai de l'alcool dans le sang, mais pas au point de me faire divaguer sur les sentiments que j'ai à l'égard de cette fille. Je remets mon boxer, mon pantalon et mon chandail, puis remarque qu'Anita a oublié ses sous-vêtements sur le sol. Je m'en empare et décide de les emmener dans mon dortoir, je lui redonnerai une autre fois. Pour l'instant, il ne faut tout simplement pas que ça reste dans cette salle de classe.

Je prends donc la direction de la tour des Gryffondors, la peine dans l'âme. Étrange, pour un gars qui vient d'avoir la meilleure baise de sa vie. Mais c'est de ma faute. J'aurais du réfléchir avant de l'embrasser dans ce tunnel, et avant de lui déclarer ma flamme dans cette classe. ''Idiot, pensais-je.''

J’atteins rapidement mon dortoir, et je m'empresse de me défaire de mes vêtements pour me mettre au lit. Le bain peut attendre demain, de toute façon j'ai période libre au matin. Je cache les sous-vêtements d'Ani dans ma valise, et je tire les rideaux de mon lit à baldaquins avant de me glisser nu sous mes couvertures. Le sommeil me gagne lentement, mais finit tout de même par s'emparer de moi.

HJ: Parti, je suis rendu dans mon dortoir Smile

» Cette nuit là...