I am trying to be stronger

Je ne devrais pas être en train d'entraîner ma copine à se défendre contre les Mangemorts. Je devrais être en train de lui faire l'amour tendrement sur le bord d'un feu, pour ensuite lui lire un magnifique poème et lui offrir une délicieuse boîte de chocolats. Je n'en pouvais plus de ces guerres incessantes. Parfois, j'avais envie de tout laisser tomber et de m'enfuir loin d'ici. Mais je ne pouvais pas laisser tomber mon cousin. Même si notre relation n'était pas la meilleure, je me devais de le protéger pour qu'il élimine le mal à jamais. C'était mon devoir, et j'allais faire de mon mieux pour le réussir. Si je devais y aller ma vie, alors soit. Par contre, je ne voulais pas que Brooklyn soit impliquée là-dedans. J'allais tout faire pour la tenir à l'écart de toute cette violence, mais il viendrait un jour où je ne pourrais pas la protéger. Elle devait être en mesure de se défendre. Elle, Raïna, Rose et toutes les autres jeunes filles qui tournaient autour de Liam. J'étais prêt à toutes les entraîner s'il le fallait. Ce qui me donnait une idée...

« Et pour l'instant, tu m'apprends quoi d'autre ? me demanda ma copine, ce qui me sortit de mes pensées. »

J'eus un petit sourire en coin devant sa presse. Mais c'était assez pour aujourd'hui. Elle devait assimiler les choses une par une, pour ensuite les peaufiner et les maîtriser à la quasi perfection. Je savais qu'elle en était capable, mais elle devait apprendre à ma façon, et non essayer de pousser les choses. Et si je faisais comme Harry Potter, et que je montais une armée d'étudiants ? Non pas pour les envoyer au combat, mais seulement pour leur apprendre à se défendre... Je pourrais reprendre le nom d'antan, l'Armée de Dumbledore. Ce n'était pas Miss Lakimov qui s'opposerait à mes plans mais tout de même, j'allais lui soumettre mon idée. Et puis, ce ne serait pas une mauvaise chose que d'inclure Liam. Cela arrangerait sans doute notre relation, que j'avais gâchée lorsqu'il m'avait volé mon poste. C'était de la pure jalousie. J'aurais du me réjouir pour mon cousin. Au contraire, je l'avais insulté et j'avais arrêté de lui parler. 

« Il faut que je t'avoue quelque chose, murmura alors Brook. »

Je baissai mon regard vers elle, elle semblait tellement honteuse. J'eus envie de la prendre dans mes bras pour la rassurer, mais je ne voulais pas qu'elle éclate en sanglots. J'attendis donc qu'elle se livre, légèrement inquiet. 

« J'échoue avec Marsters, parce que je suis une couarde, avoua-t-elle, à ma plus grande surprise. J'ai peur de lui et de comment il me regarde, comme si j'étais une victime ou une proie. »

J'avais souvent remarqué qu'il regardait bien des gens de cette façon. Dans mes cours, je l'avais souvent surpris à regarder Timmy Potter en se léchant ses lèvres. J'avais toujours trouvé cela étrange, jusqu'à ce que je surprenne une conversation bien malgré moi dans les corridors, alors que je m'assurais que le château était sans danger. En effet, ce prof aurait violé Potter. Le pauvre. Il avait déjà de la difficulté à vivre, il avait peur de son ombre, et ce monstre l'avait lâchement agressé. Victime facile et innocente... Était-ce ce qui était arrivé à ma Brooklyn? 

« Je sais, c'est con... souffla-t-elle. »

Je poussai un petit soupir, avant de ramener ma copine contre moi. Je la serrai avec tendresse dans mes bras, caressant sa longue chevelure orangée. Je posai mes lèvres sur le dessus de sa tête, cherchant comment lui demander si elle avait été violée. 

« Ce n'est pas con Brooklyn, lui murmurais-je. Il viole certains étudiants, mais ils ont tellement peur de lui, qu'ils n'osent pas le dénoncer. »

Je la sentis tressaillir après mes paroles. Je resserrai mon étreinte sur elle, comme pour la rassurer. Si ce prof avait violé ma petite amie, il le paierait de sa vie, ça c'était certain. 

« S'il t'a violée, Brook, tu dois me le dire, tentais-je d'un ton doux. »

Aucune réponse. Je pris une grande inspiration. Elle se livrerait en temps et lieu, si c'était arrivé. Je l'éloignai un peu de moi, plongeant mon regard dans le sien. Je lui souris avec tendresse. 

« Que penserais-tu de refaire l'Armée de Dumbledore ? lui proposais-je, en même temps pour changer de sujet. » 

Codage par Libella sur Graphiorum

Je vis aussitôt que mon idée plaisait à ma copine. Son petit sourire, son hochement de tête, elle était tout simplement la plus belle femme au monde. Je lui souris à mon tour, avant qu'elle ne se blottisse dans mes bras. En ce moment, je donnerais absolument tout ce que je possédais pour mettre fin à cette guerre et ainsi assurer la sécurité de Brooklyn. Jamais je n'aurais cru que je trouverais l'amour à Poudlard, mais c'était arrivé, et j'étais l'homme le plus heureux au monde. Ma copine se hissa sur la pointe des pieds pour embrasser mes lèvres avec tendresse. Je gémis au travers nos baisers, alors que sa main glissait doucement dans mes cheveux. Ma main alla naturellement se poser au creux de son dos, alors que les baisers devenaient de plus en plus langoureux. Merde. À quoi jouait-elle ? 

« Marsters ne m'a jamais violée, me dit sérieusement Brook. Mais pendant l'un de ses cours, le lendemain de ma transformation, il marchait entre les tables. Puis il s'est pressé dans mon dos et... je l'ai senti... son... »

Je pris une grande inspiration, afin de ne pas me lever pour aller assassiner ce connard. S'il osait toucher à un seul cheveu de ma Brookie, il passerait un mauvais quart d'heure. Je n'étais pas quelqu'un de violent, mais il me ferait grand plaisir de le devenir pour faire payer toutes les atrocités que ce prof avait fait aux élèves. 

« Je veux qu'on ramène l'Armée de Dumbledore, affirma ma copine, retrouvant son aplomb. Mais tu vas tout m'apprendre avant. On va leur enseigner ce que tu m'as appris ensemble. »

Je souris moqueusement. Ça pourrait être très long, en fait. J'allais plutôt donner une longueur d'avance à Brooklyn afin qu'elle puisse aider les autres lors de nos petites réunions, et j'allais plutôt faire équipe avec mon cousin pour l'enseignement. Il était grand temps que lui et moi, nous redevenions proches. Je l'avais boudé suite à sa nomination en tant que gardien, puisqu'il m'avait volé mon poste. Je ne lui avais plus parlé depuis. 

Mon amoureuse me poussa alors vers le bureau du prof, et mes fesses le heurtèrent bien rapidement. Le petit corps de Brook se retrouva bien rapidement entre mes jambes, ses lèvres se délectaient des miennes. Je fermai les yeux sous la luxure, alors que sa bouche descendait dans mon cou et que ses mains attaquaient ma chemise. 

« Avant, j'ai envie qu'on relaxe un peu, minauda Brooklyn. »

Je gémis légèrement, me sentant faiblir sous les caresses de ma copine. Merde, qu'est-ce qu'elle n'avait pas compris dans ce que je lui avais dit plus tôt ? Je n'étais pas prêt à cela. Je n'avais jamais connu l'amour, et je devais apprendre à me contrôler pour ne pas lui faire mal. Incapable de lui refuser quoi que ce soit, je soulevai Brook dans mes bras, encerclant ma taille de ses jambes fines. Mes mains se posèrent sous ses fesses rebondies, avant que je ne me retourne et que je la dépose sur le bureau du prof. D'un simple geste de la main, je projetai tout ce qui s'y trouvait au sol, embrassant ma petite amie de plus en plus passionnément. Déjà, je sentais mon membre bien à l'étroit dans mon pantalon. 

« Je t'aime tellement Brooklyn, lui soufflais-je au creux de l'oreille. »

Mes baisers descendirent bien rapidement au creux de son cou, alors que j'y faisais un petit suçon. Je lui retirer son legging d'une main, alors que l'autre se saisissait fortement de sa cuisse. Je m'emparai à nouveau de ses lèvres, laissant ma main grimper sous son chandail, pour aller caresser sa petite poitrine bien ferme. Habilement, j'allai détacher son soutien-gorge, pour glisser mes doigts sous la dentelles, pinçant tendrement son mamelon jusqu'à le sentir durcir. 

« J'ai tellement peur de te faire mal, râlais-je en luttant contre mon désir. »

Rien à faire. Je poussai brusquement Brooklyn contre le bureau, avant de grimper par-dessus elle. Je lui retirai son chandail, puis son soutien gorge, pour les lancer au loin. Mes lèvres se posèrent dangereusement contre sa poitrine tout simplement parfaite. Je me délectai de l'un de ses mamelons pendant de longues secondes, incapable de ne pas gémir. Je glissai alors ma main dans sa brésilienne, pour aller titiller son petit bouton de chair. La sentant se cambrer de plaisir sous moi, je me laissai glisser au sol, écartant violemment ses jambes. J'embrassai son intimité, avant de lui retirer son sous-vêtement. Je commençai alors à lui faire l'amour oralement, en tentant de ne pas céder à mes pulsions violentes. 

Codage par Libella sur Graphiorum