Chenoa (Colombe) Naskapis, Enseignante de Divination

Chenoa Naskapis

PSYCHOLOGICAL CONFESSIONS

Je suis une femme très calme et disciplinée, c'est pourquoi je m'étais retrouvée à Serdaigle il y a maintenant onze ans. Je suis une messagère, d'où mon nom, Chenoa dans ma langue natale, mais traduit en notre langue il signifie Colombe Blanche. Les dieux tout puissant m'ont choisis pour prévenir le monde entier des pires tragédies et de les empêcher. Ma famille est très importante au sein du peuple Naskapis, étant donnée nos origines. Sans être ce que dans ce monde on appelle une née moldus, je suis la première sorcière de mon peuple. J'ai un très grand esprit logique et je sais très facilement tiré des conclusions. J'ai un esprit très vif et j'arrive facilement à penser et trouver des solutions à toutes sortes de problèmes. J'adore tout ce qui implique la logistique, la lecture, les jeux de chiffres et de mots, mais surtout les puzzle chinois.

STORYLINE OF THE CHARACTER

Je suis née dans une réserve amérindienne au Canda, j'y ai grandis tranquillement et heureuse dans une famille unie. Ma famille descends directement des sorciers, les chamans de mon peuple. J'ai hérité de grands dons divinatoires, qui m'ont souvent fait voir les pires tragédies. À l'âge de onze ans, une femme est venue me chercher m'annonçant que j'avais de grandes choses à accomplir dans son monde, méfiante comme je le suis je ne l'ai d'abord pas crue. Elle me remis alors une lettre étrange qui ne faisait que confirmer ses dires. Je la suivis donc en Angleterre, où elle me pris sous son aile. Dès mon arrivé dans la grande salle, j'éveillai les murmures, peut-être car le Choixpeau mis un bon dix minutes avant de trouver la maison qui me correspondait le plus. Je fus envoyer chez les Serdaigles où j'étoffai mes connaissances durant sept ans. Avant d'obtenir un poste au département des mystères du ministère de la magie comme prophétesse. J'y produit des millions de prophétie en cinq ans avant d'être engager comme enseignante de divination dans mon ancien collège. Mon peuple avait pour valeur de porter des vêtements traditionnels, ce que je me fais un point d'honneur à perpétuer.