À la recherche d'action

Sujet: Re: À la recherche d'action Mer 21 Nov 2018, 21:51

Personne ne savait pour Abigail et moi, et personne ne saurait jamais. De plus, je restais facilement la professeur ayant couché avec le moins d'élève. Je reconnaissais une chose nouvelle en moi, j'étais lesbienne. Et je l'avais dit à quelques de mes collègues, Eliott, Cedric et Eva. Les deux premiers étaient un couple fort et l'autre, une bonne amie. Malgré ma nouvelle «situation», je complétais mes tâches d'enseignante avec le plus grand soin, rien ne changeait.

C'était mon heure de ronde, les préfets de cette année avaient la mauvaise habitude de laisser leur hormones et leur têtes enflées guider leurs actions. Donc, l'un des membres du corps enseignant devaient se lever de son lit tout chaude et se promener dans les couloirs et les sols de Poudlard, afin de s'assurer que les préfets faisaient ce que l'on attendait d'eux.

Puisque je donnais des cours seulement après-midi, le mercredi, la nuit de mardi était celle qui m'avait été imposée. Ne portant qu'une fine robe de nuit blanche sous un peignoir gris, armée de ma baguette; je descendais de la tour des Gryffondors, pour me rendre à la bibliothèque. Nous devions changer de parcours entre chaque ronde, afin que nos charmants élèves ne nous attendent pas. Mes pieds dans des petites ballerines de la couleur de mon peignoir, je descendais d'un pas de loup. Je finis par arriver devant les portes closes du local du savoir. D'un coup de baguette, je les ouvris et m'engouffrai dans mon ancien repaire de jeunesse.

La salle était excessivement sombre, je chuchotai un lumos et entama une ronde parmi les rayons, tout en glissant mon doigt sur la reliure des livres. Si je n'avais pas eu le poste que j'avais, j'aurais volontiers pris celui de notre douce Amandyne. Des pas loin, vers l'entrée de la bibliotèque se firent entendre, je revins lentement sur mes pas, marchant silencieusement, baguette parée. Il fallait aussi les tester, ces préfets.

- Je vous rappelle qu'il est interdit de vous promener dans les couloirs, la nuit, fit une voix raillante.

Je reconnus l'une de mes meilleures élèves, Marilyn Trempt, celle qui selon les rumeurs se tapait son frère. «Pour la pureté du sang», foutaise, à son âge, il était clair et net qu'elle était amoureuse d'Oliver. Elle restait aussi une jeune fille magnifique avec un bon sens de l'humour, lorsqu'on la connaissait un peu. Je tournai le coin et arrivai devant mon élève vedette.

- C'est très bien, vous connaissez les règlements, Miss Trempt, me moquai-je gentiment.

Je baissai mon arme, avant de la contourner, afin de regarder par-dessus son épaule, dans le corridor. Si elle était amoureuse de son frérot, il n'était pas rare de la voir séduire un malheureux garçon. Les plus brillants savaient s'en tenir loin, mais les idiots retombaient dans ses filets et lui donnaient tout ce qu'elle voulait. Elle était une digne Serpentard, elle arrivait toujours à ses fins. Et je ne pouvais que lui lever mon chapeau, provenant de la même maison qu'elle, je savais reconnaître le succès.

- Votre ronde est-elle fructueuse, Marilyn? demandai-je. Ou vous et vos collègues ont les choses en main?

Je lui tirai la langue, sachant que j'avais surpris bien de ses collègues avoir les mains longues entre-eux ou avec d'autres élèves. Je ne les punissais jamais, l'adolescence et les hormones les guidaient et ils devaient faire leurs propres expériences.

Sujet: Re: À la recherche d'action Ven 23 Nov 2018, 20:08

Sujet: Re: À la recherche d'action Ven 25 Jan 2019, 20:42

Si William était resté partit, je serais encore directrice de la maison des serpents. Je méritais ce poste plus que lui. Je voulais prendre soin de ces élèves en particulier, ils étaient mes préférés. J'avais aussi envie d'avoir plus de pouvoir dans cette école, on me refusait toute promotion. Pourquoi ? Aucune idée, probablement à cause de mes relations non appropriées avec mes élèves.

Marilyn était l'une des élèves que j'aurais toujours voulu connaître un peu plus et qui me faisait fantasmer. Son intelligence et son ambition étaient deux traits qui m'attiraient le plus chez quelqu'un.

- C'est une soirée assez calme, madame, dit-elle d'une voix brûlante.

La belle jeune femme avança vers moi, avant de faire glisser ses doigts dans mes cheveux blonds cendrés. Sa main continua son voyage contre mon épaule et mon bras, entraînant ma manche de peignoir avec elle. Le reste de ma manche alla mourir dans le coin de mon coude, mon regard plongé dans le sien. Je baissai les yeux, avant de rire nerveusement.

- Ce n'est pas un comportement digne d'une préfète, Miss Trempt, dis-je, sans une once de sérieux dans la voix.

Ma main monta vers son visage parfait, avant d'enrouler une mèche autour de mon doigt, alors que je mordais ma lèvre inférieure. Je reculai dans l'ombre d'un rayon de livre, entraînant l'élève avec moi. Mon regard brillait d'une lueur malicieuse. J'allais la faire attendre, un peu. Je savais que c'était aussi son truc, se faire désirer. Mes mains défirent sa robe d'uniforme, la laissant tomber au sol. Mon autre main s'enroula autour de sa cravate verte et argent. Il y avait quelques années, j'étais à sa place, en fait, exactement la même place. À genoux devant mon professeur de Potion, si vous voyez ce que je voulais dire.

Je retirai mon peignoir, avant d'attirer Marilyn contre moi, tenant sa cravate dans ma main. Mon autre se glissant dans ses cheveux. Mon regard brûlant dans le sien.

- Je crois que vous avez mérité une petite pause dans votre ronde, Miss Trempt, murmurai-je, sensuellement.

— Ce n'est pas un comportement digne d'une préfète, Miss Trempt, me réprimanda mon enseignante sans aucune once de sérieux dans la voix.

Sa main remonta vers mon visage, jouant avec une mèche de mes cheveux, Je vis rapidement la blonde se mordillé la lèvre inférieure. Elle fit quelques pas de reculons, m'entrainant dans l'ombre d'un rayon de livre. Son regard était malicieux et je savais que j'allais passé un bon moment ce soir. Les mains de la professeur de botanique se mirent à défaire ma robe d'uniforme qui vînt s'écraser au sol. Mon institutrice enroula ses doigts autour de ma cravate. Elle fini de retirer son peignoir, dévoilant une peau visiblement douce et son corps uniquement vêtue d'une simple nuisette de satin crème. Elle tira d'un coup sur ma cravate, m'attirant contre son corps. Son autre main main remonta et vînt se glisser dans mes cheveux. La blonde dardait sur mon un regard brûlant.

— Je crois que vous avez mérité une petite pause dans votre ronde, Miss Trempt, déclara mensuellement Miss Bishop.

Je glissai ma main dans la chevelure d'un blond cendré de mon professeur de botanique, les tirant légèrement sur le coté afin d'exposer la peau nue de son cou sur lequel je posai doucement mes lèvres. Je me reculai d'elle le temps de retirer mon gilet de laine couvrant ma chemise d'un blanc immaculé avant de me focuser sur l'épiderme de son cou à nouveau. Je finis par le quitter, laissant remonter ma bouche pour venir mordiller son lobe d'oreille. Ma main quitta sa chevelure pour venir libérer une des ses épaules de sa nuisette.

— Ta peau est tellement douce, échappais-je dans un soupir.

Abigail avait été un bon coup d'un soir, mais Marilyn serait encore mieux. Eliott et moi étions dans les professeurs qui couchaient le plus avec les élèves. Autant masculin que féminin, du sexe était du sexe et si je pouvais en tirer un quelconque plaisir, le mieux je m'en tirerais. Marilyn avait finit par lâcher son idiot de frère, maintenant j'avais son attention que pour moi. J'avais tellement besoin de la toucher et maintenant.

La main de mon élève glissa dans mes cheveux, avant de les empoigner doucement et tirer doucement contre ma tête vers le côté. Mon cou fut exposé au souffle chaud de la vipère. La caresse extrêmement douce de ses lèvres me firent presque gémir de plaisir. Je me sentais déjà plus qu'humide entre mes cuisses. Marilyn se défit de mon étreinte, avant de reculer et retira son chandail de laine. Ses lèvres revinrent vers ma gorge, alors que je me sentais fondre contre elle. Sa bouche remonta vers mon lobe d'oreille, qu'elle mordilla doucement. Sa main qui fourrageait dans mes cheveux descendit contre mon épaule et en fit glisser l'une des épaule de ma robe de nuit.

- Ta peau est tellement douce, dit-elle en un souffle.

Moi qui voulait toucher la sienne, je ne laissai aller qu'un petit gémissement. Mes mains se glissèrent contre sa poitrine au travers de sa chemise. Mes mains se mirent à jouer les boutons de sa chemise, alors que je mis à les défaire. Je dévoilai ses seins couverts d'une brassière noire en dentelle, je mordis ma lève inférieure. Mes lèvres allèrent se presser contre les siennes, avec tellement de passion et d'appétit. Je retirai sa chemise d'uniforme, avant de la pousser contre le rayon de livre opposé à moi. Mes mains tenaient ses poignets, alors que mes baisers glissaient chaudement contre sa gorge et sa peau douce et sensible.

- Et que dire de la tienne, ronronnai-je dans son cou.

Mes mains glissèrent contre son ventre plat et allèrent jouer contre la bande de sa jupe d'uniforme. L'une de mes mains glissa vers le bas de son dos et alla empoigner l'une de ses fesse sous sa jupe. Mes lèvres glissèrent vers sa poitrine et la vallée entre ses seins, pourtant je ne m'y arrêtai pas. Je finis par me mettre à genoux, ma main sur sa fesse glissant sur sa cuisse vers l'intérieur de cette dernière. Mes lèvres se posèrent sur la peau chaude de l'intérieur de sa cuisse, où je lâchai un autre gémissement.

- Tu vas tellement te servir de moi, après tout ça? demandai-je, moqueuse.

Ma main prit le zip derrière la jupe pour le descendre lentement. Je jetai un regard brûlant à mon élève.