I've been a bad bad girl

Invité

Comment mal finir une semaine? Avoir une retenue, un vendredi soir, avec un nouveau professeur. Mr Austin Cooper superviserait ma retenue de 4h, ce soir, dès la fin de mon cours de potions à 18h. Tout cela parce que j'avais traité Miss Alice Summers de petite coincée, lorsqu'elle m'avait avertie sur la longueur de ma jupe. Cette petite pétasse abusait de son pouvoir de préfète et de la popularité que son chaud lapin de jumeau lui apportait.

Je me dirigeais vers la classe de runes anciennes, déambulant et utilisant le plus de détour possible, pour retarder le sale quart d'heures qui m'attendait. Les talons aiguilles de mes bottillons claquaient contre le sol, alors que je serrais ma veste de cuir contre moi. J'adorais ne pas respecter l'uniforme de Poudlard, j'avais toujours fait cela, même lorsque j'étais à Beauxbâtons. Je tournai dans un corridor et arrivai devant la classe de runes. Je replaçai mon sac sur mon épaule, avant de tourner la poignée. Quelle ne fut pas ma surprise de voir un mec trop CHAUD, assis au bureau du prof. Je devinais son corps recouvert de tattoos de toutes sortes, à voir son cou et son avant-bras, dénudé puisqu'il avait roulé les manches de sa chemise. Il semblait absorbé par la lecture d'un livre. Je mordis ma lèvre inférieure.

- Professeur Cooper, je suppose? dis-je, d'un ton presque sensuel.

Mon regard croisa le sien, lorsqu'il leva les yeux sur moi. Je tirai sur l'élastique, qui retenait mes longs cheveux platines en une longue queue de cheval, les laissant cascader autour de mon petit corps. J'étais trop irrésistible, lui aussi et il était définitivement l'homme de mes rêves.

- Brianna Van der Bilt, dis-je. J'ai été une méchante fille et il paraît, que vous supervisez ma retenue ce soir.

Je me dirigeai vers le premier bureau d'étudiant, en face du sien, en me déhanchant. Je posai mes petites fesses sur la chaise et me penchai vers lui avec un sourire brillant. Mon regard bleu glace se plongea dans le sien, brun chocolat au lait. Je commençai à enrouler une mèche platine autour de mon index.

- Donc, quelle va être ma punition?

Invité

Je devais superviser la retenue de miss Van Der Bilt ce soir. Mon dernier cours ce termina vers 16h, ça me donnait amplement le temps de corriger les devoirs restants avant son arriver. Je terminai vers 17h et décidai de me plonger dans un livre. Brianna devait venir tout de suite après son cours de potion qui terminait vers 18h. 18h15 sonna et elle n'était toujours pas là. On m'avait avertit de son tempérament assez aguicheur, mais lorsqu'elle débarqua dans ma classe j'en fût surpris. Brianna arborait une veste de cuir, des bouillons en cuir et une jupe visiblement trop courte pour le règlement de l'école. Ce quatre heures de retenu promettait d'être intéressant. Je ne pris même pas la peine de la saluer, qu'elle m'adressait déjà la parole.

- Professeur Cooper, je suppose? dit-elle, d'un ton aguicheur.

Je levai mon regard sur elle et Brianna laissa tomber ses cheveux blonds en cascade sur ses épaules. Ses yeux ne quittèrent pas les miens.

- Brianna Van der Bilt, dit-elle, cette fois clairement intéressé par ma personne. J'ai été une méchante fille et il paraît, que vous supervisez ma retenue ce soir.

Mon regard la suivi, comme hypnotisé, jusqu'au bureau devant le mien. Je voyais bien ses efforts pour me faire flancher vers le fléau. Elle se pencha vers moi pour que je puisse voir son décolleté assez plongeant de manière évidante. Je crois l'avoir vu sourire, mais je n'en suis pas sûre puisque mon regard était visiblement ailleurs. Je relevai le regard vers le sien et elle commença à enrouler une mèche de cheveux autour de son index d'une manière clairement aguichante. Je pris une grande inspiration essayant de me replonger dans ma lecture. Peut-être que si je ne lui adressait pas la parole elle finirait par croire que je ne suis pas intéressé. J'étais quand même marié. J'avais trompé Sofia plus d'une fois sans jamais lui avoir mentionné, mais j'étais décidé à changer pour le mieux dans cette nouvelle école.

- Donc, quelle va être ma punition? me demanda la Serpentard.

Je remontai les manches de ma chemise , je devais lui adresser la parole ce n'est pas comme ça qu'un professeur doit agir avec une élève. Je pris une grande inspiration.

- Ta simple punition sera de passer 4h assise ici à ne pas parler. lançai-je d'un ton mauvais.

Invité

Je DEVAIS l'avoir. Je réussirais à le faire flancher. Il serait à moi et moi seule. Non mais, ce n'était pas humain d'être aussi parfait! Je le vis remonter les manches de sa chemise, dévoilant encore plus ses tatouages. Merde, j'avais soudainement envie de lui arracher ses putains de vêtements et de lui faire une de ses fellations. J'entendis Mr Cooper pousser une grande inspiration.

- Ta simple punition sera de passer 4h assise ici à ne pas parler, pesta Professeur Cooper.

Je relevai un sourcil, lui lançant un sourire ravageur. Je reculai la chaise, afin qu'il me voit toute entière, croisai mes jambes et déboutonnai un autre bouton de ma chemise d'uniforme. Cela laissa entre voir ma brassière de dentelle noire pigeonnante.

- Vous êtes sûr? Je peux très bien faire de la copie... ou autre chose, lançais-je, d'une voix sulfureuse.

Toujours armée de mon sourire, je me levai et allai m'installer sur le coin de son bureau. Je me remis à enrouler une mèche autour de mon index. Je me relevai, me dirigeant vers la chaise du professeur Cooper et m'installai derrière lui, mes mains sur ses épaules. Je commençai à le masser doucement. Je me penchai à son oreille.

- Vous êtes beaucoup trop tendu, pour un enseignant d'Étude des Runes, chuchotais-je doucement.

Invité

Brianna arqua un sourcil finement épilé avant de me lancer un sourire ravageur. Je fit de même évidemment sans lui sourire. Je ne voulais pas lui donner envie de moi encore plus. Brianna recula la chaise, croisa les jambes et déboutonna un bouton de son chemisier laissant entrevoir son soutien gorge. Je retournai à ma lecture essayant de me concentrer du plus que je pouvais.

- Vous êtes sûr? Je peux très bien faire de la copie... ou autre chose, lança t'elle, d'une voix aguicheuse.

Je levai les yeux et elle était maintenant installé sur le coin de mon bureau cette petite peste. Elle recommença son petit manège et j'essayais très fort de ne pas me levai pour la prendre sur mon bureau immédiatement. Toujours plonger dans ma lecture je ne vis pas Brianna venir s'installer derrière moi pour me masser les épaules. Mais quel audace !

- Vous êtes beaucoup trop tendu, pour un enseignant d'Étude des Runes, l'entendis-je chuchoter à mon oreille.

Je me retournai vers elle, agrippai sa cravate d'uniforme pour ramener son visage vers le mien.

-On m'avait averti de ton audace, mais je ne croyais pas que tu en avais à ce point. dis-je en relâchant d'un coup le bout de tissu. Si tu t'avises encore une fois de me faire des avances, ce n'est pas un simple quatre heures de retenu que tu auras mais bien un mois complet. Maintenant retourne immédiatement à ta place avant de me faire renvoyer. lançai-je d'un ton méprisant.

Je me retournai vers mon bureau, retournant du même coup en espérant que cette petite garce ait compris le message.

Invité

Non mais, il attendait quoi ? Un signe? PRENDS-MOI, PUTAIN DE MERDE! Cooper pouvait essayer de résister à mon charme, mais, j'obtenais toujours TOUJOURS ce que je voulais. Et je voulais Austin Cooper!

Je me sentis rapidement attirée vers l'avant. Professeur Cooper venait d'agripper ma cravate et m'avais attiré vers lui. ENFIN! Nos visages n'étaient qu'à quelques centimètres l'un de l'autre. Embrasse-moi, s'il-te-plaît. Baise-moi, fais-moi tienne. Rien ne vint. Je me renfrognai intérieurement.

- On m'avait averti de ton audace, souffla-t-il, d'un ton mauvais. Mais je ne croyais pas que tu e avais à ce point. Il relâcha ma cravate. Si tu t'avise encore une fois de me faire des avances, ce n'est pas un simple quatres heures de retenues, mais bien un mois complet. Maintenant, retourne à ta place, avant de me faire renvoyer.

Professeur Cooper se retourna vers son bureau, ne me donnant plus d'attention. Je levai ma botte, la posant sur la chaise du professeur, la faisant pivoter, afin qu'il soit face à moi. Je croisai mes mains contre ma poitrine, le défiant du regard. Je rammenai ma chevelure sur une épaule, d'un coup de tête.

- En quoi, on vous renverrait, si presque tous les professeurs, ici, ont des aventures avec les élèves, dis-je. Eliott Butcher, Allana Bishop, William Masters et la femme qui occupait le poste, que vous avez maintenant. Je vois comment vous me regardez.

Sur ces mots, j'enjambai ses jambes, m'asseyant sur ses cuisses. Je caressai ses lèvres avec mon ongle parfaitement manucuré, avec un sourire moqueur. Je me relevai et retournai m'asseoir sur mon bureau. Je croisai les jambes, le regardant avec la même intensité. Il allait être à moi.

- Vous êtes marié, devinais-je. Marié, mais malheureux dans cet union. Elle ne vous comble pas. Je sais pourquoi, elle vous trompe.

Je fis jouer ma barbel de langue contre mes dents, attendant qu'il me dise que je n'avais pas raison et qu'il me sorte de sa classe. Rien n'arriva. Je repris ma mèche, l'enroulant autour de mon index, mordant ma lèvre inférieure. Mon regard ne le quitterait pas. Je ne démordrais jamais. Pourquoi? Parce que j'obtenais toujours ce que je voulais.

- Je vous offre de simplement joindre l'utile à l'agréable.

Invité

Brianna posa sa botte sur ma chaise pour la faire retourner, alors que j'essayais de me replonger dans ma lecture. Je me retrouvai une fois de plus face à elle, alors qu'elle croisait ses bras autour de sa poitrine. Un air de défi planait sur son visage et moi je restais là à rien faire figer par la peur de perdre mon job si j'osais quoi que ce soit avec cette étudiante sexy. Elle ramena ses cheveux platines sur son épaule d'un coup de tête et toute mes inquiétudes s'envola du même coup.

- En quoi, on vous renverrait, si presque tous les professeurs, ici, ont des aventures avec les élèves, dit-elle. Eliott Butcher, Allana Bishop, William Masters et la femme qui occupait le poste, que vous avez maintenant. Je vois comment vous me regardez.

Sur ces mots, elle m'enjamba pour s'asseoir sur mes cuisses. Elle caressa mes lèvres avec son ongle manucuré, un sourire malfaisant planait sur son visage. Alors que j'avais tout oublier des mise en garde que je m'étais faite, Brianna retourna s'asseoir à son bureau. Elle croisa les jambes de manière aguichante, son regard de braise m'enflamma.

- Vous êtes marié, devina t'elle. Marié, mais malheureux dans cet union. Elle ne vous comble pas. Je sais pourquoi, elle vous trompe.

Ses paroles m'atteignirent tel un coup de point dans la cage thoracique. Mes mise en garde refirent face et je me sentit extrêmement mal de ressentir du désir pour une autre femme que la mienne. Elle fit tourner le bijou de sa langue contre ses dents et cela m'alluma encore plus. Bri avait en partie raison. Oui j'étais marié, j'étais peut-être malheureux, mais ce n'est pas elle qui me trompait c'était moi.Elle recommence son petit manège avec sa mèche de cheveux, mais elle mordit sa lèvre inférieure. Je m'enflammai instantanément. Nos regards ne se quittèrent plus et l'inévitable me percuta tel un coup de fouet, je devais divorcer. Cela attendrait aux vacances, mais je ne pouvais la faire souffrir davantage. Je la respectais trop pour cela.

- Je vous offre de simplement joindre l'utile à l'agréable. me dit-elle aguichante.

Je m'approchai d'elle, tel un fauve, je ne savais pas pourquoi, mais je me sentais fort avec elle.

-Écoute moi bien tu as peut-être raison sur certain point, mais ce n'est pas une petite gamine dans ton genre qui va me faire changer d'avis. mentis-je.

Invité

J'avais toujours raison. Je le voyais dans ses yeux, j'y voyais aussi une flamme de désir y brûler comme un énorme feu de joie. J'avais besoins de lui, de sentir son corps ferme et musclé contre le mien, de le sentir en moi. Je voulais me sentir presque faible dans ses bras. Était-ce trop demander?

Professeur Cooper se leva et s'avança vers moi, comme un prédateur vers sa proie. Je devins plus qu'excitée. C'était mal d'aguicher, ainsi, un membre du personnel; mais lui, il était différent. Il avait une certaine noirceur en lui et une douceur.

- Écoute-moi bien, tu as peut-être raison sur certains points, mais ce n'est pas une petite gamine dans ton genre, qui va me faire changer d'avis.

Il avait dit cela sur un ton dur. Clairement, il mentait. Comment je savais? Simple, il n'avait pas à s'approcher de moi, pour me dire cela, ni à être aussi nerveux. J'eus un sourire moqueur, approchant mon vsage du sien, de façon à ce que je sois qu'à un ou deux centimètres de lui.

- Vous mentez, chuchotais-je. Votre corps, vous trahit.

Sur ces mots, je plaquai mes lèvres sur les siennes, l'embrassant fougueusement. Je croisai mes jambes autour de sa taille, l'empêchant de se défaire de mon emprise. Mon entre-jambe effleurait son bas ventre, alors que je laissais partir de petits gémissements au travers de mon baiser. Je coupai notre baiser, pour poser mes mains sur le bureau, gardant mes jambes croisées sur sa taille. D'une main habile, j'entrepris de défaire, un à un, les boutons de ma chemise. Le tout en gardant ma cravate nouée autour de mon cou.

- J'ai raison.

Je m'arrêtai, plongeant mon regard glacé dans le sien. J'attendis qu'il prenne les devants, ce qui devrait arriver très bientôt

Invité

Elle eut un petit rire et je me demandai ce qu'elle pouvait bien trouver de drôle à un prof sévère. Puis elle approcha son visage du mien à quelques centimètres du mien. Tellement près que je pouvais sentir son souffle sur mon visage. Je m'aperçu, à l'instant, que mon front était en sueur.

- Vous mentez, l'entendis-je chuchoter. Votre corps, vous trahit.

Immédiatement après ses paroles, Brianna plaqua ses douces lèvres sur les miennes. Je ne pu que me laisser aller vu l'effet qu'elle avait sur moi. Notre baiser s'intensifia et je senti ses jambes enlacer ma taille. Je pouvais l'entendre gémir entre deux baisers, alors que je caressais doucement son dos. Elle coupa notre baiser pour poser ses mains sur le pupitre derrière nous. La Serpentard garda, cependant, ses jambes croiser autour de ma taille. D'une main experte , elle défit les boutons de sa chemise révélant son soutien gorge et ses seins rebondit.

- J'ai raison.

Evidemment qu'elle avait raison, qui pourrait résister à cette bombe. Son regard de glace plongé dans le mien m'indiqua qu'elle attendait que je prenne les devants. Je rapprochai son visage du mien en tirant sur sa cravate qu'elle n'avait pas dénouée. Je l'embrassai fougueusement alors que je lui retirais sa chemise et ensuite je retirai la mienne. Je pris sa main dans la mienne et la déposa sur mon torse finement musclé, alors que je détachais son soutien gorge. Ma main voyagea de ses cheveux jusqu'à ses seins que je caressai.

-Tu as quand même été une vilaine fille, tu as droit à une punition tu ne crois pas ? lui chuchotai-je à l'oreille d'un ton suave.

Invité

Et voilà, il était à moi, en fait j'étais à lui Mon coeur se mit à se débattre, mon cerveau commença à analyser la situation. J'étais en terrain glissant, pourtant, j'étais si excitée. La main du professeur Cooper s'enroula dans ma cravate, alors qu'il attirait mon visage vers le sien. Ma tête me disait d'arrêter, soudainement, mon coeur, lui, s'en donnait à coeur joie. Étais-je vraiment devenue presque excitée par le fait de me faire un enseignant, que j'en avais oublié mon viol par un professeur lorsque j'étais à Beauxbâtons?

Les lèvres d'Austin Cooper contre les miennes firent taire ma cervelle. Ses mains douces, mais ferme, me retirèrent ma chemise. Il fit la même chose pour la sienne. Sa main prit la mienne, avant de la poser contre son torse ferme et magnifiquement tattoué. Je le sentis défaire ma brassière d'une main experte, relâchant mes seins rebondis de leur prison de dentelle. Je le sentis glisser son autre main, de mes cheveux jusqu'à ma poitrine, qu'il caressa doucement. Ce curieux mélange de fermeté et de douceur, me fit presque perdre la tête. J'étais habituée de faire semblant de jouir, peut importe avec qui j'étais, mais avec lui, je devais me retenir de ne pas le faire trop vite.

- Tu as quand même été une vilaine fille, tu as droit à une punition, tu crois pas? demanda-t-il de sa voix rauque.

Réponds, merde Bri, réponds! Aucun mot ne parvint à sortir de ma bouche. Trop excitée par son corps et sa douceur, mais trop apeurée de ce qui s'en venait, je me contentai de hocher la tête. Pour être honnête, Austin serait le premier professeur à me faire l'amour, car je n'avais jamais accepté les avances des autres, de peur de revivre mon viol. Je n'avais couché qu'avec d'autre étudiants.

Je pris une inspiration, que je réussis à camoufler comme un gémissement, avant de reprendre les lèvres de l'enseigant. Ma main caressait du bout des ongles, son torse parfait, alors que l'autre alla jouer dans ses cheveux sombres. Gardant mes jambes autour de sa taille, j'entamai une douce danse du bassin, frottant mon intimité humide contre son bas ventre. Quelque chose chez lui effaçait ma peur. Je pris sa main, la glissai sous ma jupe et dans ma brésilienne. Je voulais qu'il me touche, qu'il me rassure et qu'il me fasse oublier à quel point j'étais mauvaise.

- Je suis vôtre, soufflais-je, alors que je frissonnais sous ses caresses.

Invité

Aucun son ne sortit de sa bouche, elle était si bavarde il y a quelques instants pourtant. Elle se contenta de simplement hocher la tête. Brianna prit une inspiration bruyante que d'autres auraient sûrement prit pour un gémissement. Je n'étais pas comme les autres. Alors que j'allais essayer de lui parler, elle reprit mes lèvres contre les siennes et je décidai de laisser passer ça comme si de rien était. Si elle aurait voulu m'en parler, Brianna l'aurait déjà fait. Elle caressa du bout de ses ongles manucuré mon torse tatoué et un frisson de plaisir me prit le long de l'échine. Son autre main était occupé à fourrager dans ma chevelure. Ma main droite caressait le derrière de sa chevelure tandis que la gauche caressait son visage du pouce. Bri frotta son bassin contre mon bas ventre et mon érection commença à grandir. Elle prit ma main, la glissa sous sa petite culotte. Je pouvais sentir son intimité humide sous mes doigts, alors que mon érection se fit douloureuse.

- Je suis vôtre, l'entendis-je soupirer, alors que je caressais son bouton de chair avec ferveur.

Cela allait être sa punition elle devait se plier à mes quatres volontés. Je lui enlevai sa brésilienne et me mit à genou devant elle. Je commençai à titiller son bouton de chair de ma langue, alors qu'elle gémissait de plus en plus. Ses cris me donnaient encore plus envie d'elle. Mon érection devenu beaucoup trop douloureuse pour ne pas être touché. J'entrepris de descendre mon pantalon.

-Ce sera ta punition. dis-je en lui lançant un clin d'oeil

Invité

Cela devenait de plus en plus vrai, tout allait trop vite. Sa main caressait ma chevelure, alors que l'autre caressait délicatement mon visage. Comme je sentais ses doigts contre ma douce intimité, je sentis son érection devenir de plus en plus volumineuse.

Les mains du professeur agripper ma culotte, afin de me l'enlever. Je le vis se mettre à genoux devant moi, ce qui fit accélérer mon battement de coeur, son visage s'avança vers mon intimité. Je sentis sa langue alla chatouiller mon petit bouton de chair. Je fondis sur place. Mes gémissements devenaient de plus en plus comme des cris. Je vis son érection, massive, tendre son pantalon. Austin entreprit de défaire son pantalon, révélant le membre le plus massif que j'avais vu dans ma vie.

- Ce sera ta punition, lança-t-il, avec un clin d'oeil.

Je rougis, avant d'enrouler ma petite main autour de son sexe tendu. J'entamai un doux va et vien, un peu apeurée par l'idée d'avoir son membre dans ma bouche, sachant très bien que cela ne rentrait jamais au complet. Je pressai mon corps à moitié nu contre son torse, avant de l'embrasser avec passion. Je posai mes petites mains contre son torse, le repoussant doucement, avant de me mettre à genoux devant lui. Je pris son membre, d'une main, posai un petit baiser sur son gland, avant de le prendre complétement en bouche, en fin le plus que je pouvais. De petites larmes perlaient aux coins de mes yeux. Ce n'était pas parce que son sexe était trop massif pour ma petite bouche, mais parce que je me revis à genoux devant mon professeur à Beauxbâtons, alors qu'il me forçait poussant sur ma tête.

- Je... C'est.. C'est trop gros, murmurais-je.

J'éclatai en sanglots amers devant lui. Et voilà, ce qui devait arriver arriva. Je venais de revivre quelque chose, que j'avais mis tant de temps à essayer d'oublier. Tout cela, pour un homme, qui me faisait frisonner simplement à le regarder. Je levai un regard mouillé vers lui.

- Désolée, chuchotais-je.

Invité

Je cru voir Brianna rougir alors qu'elle agrippais mon sexe de sa petite main frêle. Elle entama un doux va et viens et mon corps tendu se relâcha presqu'immédiatement. Elle pressa son contre mon torse avant de m'embrasser et je passai mes deux mains des ses cheveux. Bri posa ses mains sur mon torse avant de se mettre à genoux devant moi. Enfin ! Elle prit mon sexe dans sa main droite, déposa un léger baiser dessus avant de le prendre en bouche. Je soupirai d'aise, fermer les yeux et laisser aller ma tête vers l'arrière.

- Je... C'est.. C'est trop gros, murmura t'elle alors que j'ouvris les yeux.

Elle éclata en sanglot et je me sentis immédiatement coupable. Qu'est-ce qui t'avais pris Cooper ? Coucher avec une étudiante super idée ! Je me dépêchai à revêtir mon pantalon et je la serrai contre moi en caressant son dos nu de la main droite. Elle leva un regard attristé vers moi, alors que son mascara coulait sur ses joues.

- Désolée, chuchota t'elle toujours en pleur.

Je la pris dans mes bras et m'assit sur le plancher de ma classe. Je posai Bri sur mes genoux et entreprit de la bercer contre moi. Je voulais savoir qu'est-ce que j'avais fait de mal, mais je n'osai pas sur le coup. Je caressai ses cheveux platines posant ma tête contre la sienne. J'essayais d'être le plus réconfortant possible.

-Brianna je suis vraiment désolé si je t'ai fait du mal, mais j'aimerais au moins savoir quel est la cause de tes pleurs. demandai-je a voix basse.

Invité

Chouette, je venais de tout gâcher encore. Bravo, Van der Bilt, franchement! Autant, je voulais sentir son corps ferme contre le mien, que je voulais qu'on m'aime, qu'on me rassure. Je voulais qu'on me dise qu'on me protégerait de cet homme, qui avait de moi, la salope que j'étais.

Aussi rapidement, qu'il avait retiré son pantalon, Professeur Cooper le remit. Ses bras solides me prirent contre lui, alors qu'il s'asseyait au sol. Je me laissai bercer, comme une enfant. Mais je ne voulais pas qu'il me voit comme une pauvre étudiante faiblasse. Je voulais qu'il me voit comme une femme désirable. L'une de ses mains caressait mes cheveux blonds, alors qu'il posait sa tête contre la mienne. Je sentais qu'il prenait le rôle du professeur protecteur.

- Brianna, je suis vraiment désolé si je t'ai fait du mal, mais j'aimerais au moins savoir quelle est la cause de tes pleurs, souffla-t-il.

Sa voix basse et rauque me fit frissonner. Me faisant toute petite contre lui, je ravalai un sanglot. Je levai un regard d'animal blessé vers lui. Comment lui dire, que la dernière fois, que j'avais été seule avec un professeur masculin, cela s'était terminé en viol?

- J'ai été violé, dis-je, le ton dur. J'avais 12 ans, j'étudiais à Beauxbâtons. Ce prof m'avait demandé de le rejoindre à son bureau et j'ai finis à genoux, son sexe dans ma gorge. Je suis sortie de l'école, enceinte, j'ai avorté et je suis entrée à Poudlard, ma voix cristalline était devenue rauque. Pourquoi me suis-je jettée sur vous? Parce que je suis folle.

Je baissai le regard sur ma poitrine, avant de jouer avec ma cravate. Je relevai un regard sérieux. Ma main alla caresser la joue de Cooper. Je me redressai sur mes genoux, lui faisant face, mon visage si près du sien.

- J'ai besoins d'oublier, dis-je tout bas. J'ai besoins de passer à autre chose.

Mes lèvres se posèrent sur les siennes, en un baiser beaucoup plus doux que les précédents. C'était un baiser désespéré, mais plein d'espoirs. Mes mains allèrent se poser sur sa nuque, l'une d'elle voyageant dans ses cheveux, les caressant avec douceur. Lorsque je brisai notre baiser, je plantai un regard insécure dans celui de l'enseignant. Voyant qu'il ne bougait pas, je me relevai, la tête basse. Je tournai les talons, ramassant ma chemise au passage, mais comme j'allais m'éloigner de lui, je sentis sa main prendre la mienne.

- Je veux juste être aimer, dis-je.

Rien ne sortit de sa bouche. Mais sa main ne lâchait pas la mienne. Je me retournai vers lui, les yeux remplis de larmes.

Invité

Brianna eut un frisson et elle se blottit contre moi. Je savais qu'elle allait m'en parler, mais elle ne savais juste pas de qu'elle façon le faire.

- J'ai été violé, dit-elle d'un trait. J'avais 12 ans, j'étudiais à Beauxbâtons. Ce prof m'avait demandé de le rejoindre à son bureau et j'ai finis à genoux, son sexe dans ma gorge. Je suis sortie de l'école, enceinte, j'ai avorté et je suis entrée à Poudlard, sa voix cristalline était devenue rauque par les larmes refoulé. Pourquoi me suis-je jettée sur vous? Parce que je suis folle.

Elle baissa le regard sur sa poitrine pour jouer avec sa cravate et tout prit un sens. Je figeai, Brianna n'était pas réellement froide c'était une façade. Elle s'était créer ça pour faire face au monde qui l'entoure et pour ne pas s'écrouler au moindre petit obstacle. Elle releva un regard sérieux vers moi et caressa ma joue du dos de sa main. Elle se redressa a genoux pour me faire face nos visages étaient si près l'un de l'autre. J'avais envie de goûter ses lèvres une dernière fois avant qu'elle ne parte.

- J'ai besoins d'oublier, dit-elle tout bas. J'ai besoins de passer à autre chose.

Ses lèvres se posèrent sur les miennes tel une bénédiction. Notre baiser était beaucoup plus doux que les premiers. Ses main allèrent se poser derrière ma nuque en jouant dans mes cheveux au passage. Brianna rompit notre baiser et je la regardai, surpris. Je ressentit son insécurité, mais je ne savais pas trop quoi faire. Je restai planter là comme un idiot, alors qu'elle se relevais la tête basse. Brianna attendait visiblement quelque chose de ma part. Elle s'éloigna pour ramasser sa chemise blanche au sol. Je sentais qu'elle voulais partir, mais ça n'allait pas alors je pris sa main dans la mienne.

- Je veux juste être aimer, l'entendis-je murmurer.

Rien ne sortit de ma bouche, mais je ne lâchai pas sa main pour autant. J'étais peut-être le seul à avoir vraiment cerner Brianna dans cette école et je ne lâcherai pas. Elle se retourna vers moi son regard remplit de larme et je ne pu m'empêcher de la prendre dans mes bras.

-Je te trouves vraiment courageuse d'être capable de passer au travers de tout cela. Je comprends mieux maintenant pourquoi tu as cette attitude avec tout le monde et je suis content que tu m'en aies parler. Je peux te jurer que personne ne sera au courant de tout cela. Ce sera notre secret et je l'emporterai jusqu'à la tombe. Cette une promesse. dis-je en embrassant le sommet de son crâne.

Je ne voulais pas qu'elle quitte cette pièce je voulais être en sa compagnie et de toute façon elle n'avait pas vraiment le choix la retenue n'était pas terminé.

-Ça te dirait qu'on pique un petit somme ensemble en attendant que ta retenue se termine. dis-je en souriant.

Invité

J'en avais assez d'être faible, frêle et incapable de vivre sans laisser mon viol me définir. Encore là, je laissais cela faire partie de ma personnalité. Austin m'attira contre son torse, où je m'y sentis immédiatement en sécurité. Faiblasse, me criais-je mentalement.

- Je te trouve vraiment courageuse, d'être capable au travers de tout cela. Je comprends mieux maintenant pourquoi tu as cette attitude avec tout le monde et je suis content que tu m'en aie parler. Je peux te jurer que personne ne sera au courant de cela. Ce sera notre secret et je l'emporterai jusqu'à la tombe. C'est une promesse, souffla l'enseignant en baisant ma tête.

La personne cruelle et dénudée de sentiments, aurait quitté la classe en riant. Je n'étais plus vraiment cette fille, de plus, ma retenue n'était pas terminée. Je me contentai de rester dans ses bras.

- Ça te dire qu'on pique un petit somme ensemble en attendant que ta retenue se termine? me demanda Professeur Cooper en souriant.

Je baissai la tête, je n'avais pas sommeil. Je ne pouvais pas lui refuser cela, non plus, je remis ma chemise n'attachant que quelques boutons. Je me relevai et m'étendis sur le bureau professoral. Ma main prit la sienne, l'attirant vers moi. J'aidai Austin à prendre place dans mon dos, je ravalai mes larmes, alors qu'il passait son bras sur ma taille et l'autre sous mon cou. Ma petite main s'agrippa à celle sur ma hanche. J'éclatai de nouveau en sanglots, personne ne m'avait prit au sérieux depuis longtemps.

- J'ai pas vraiment sommeil, soufflais-je.

Je sentis son étreinte se reserrer sur moi, alors que je me remettais à pleurer. Je me sentis tourner dans ses bras et bientôt, mon visage n'était qu'à un milimètre de celui du professeur. Mon regard se perdit dans le sien. Mes lèvres reprirent contact avec les siennes.

- Êtes-vous réellement malheureux? Dans votre mariage?

Invité

Je vis Bri baisser la tête, je voyais bien que ça ne l'enchantait pas. Elle ne refusa cependant pas, la serpentard voulait surement sentir mon corps contre le sien. Brianna remis sa chemise, n'attachant qu'un bouton sur deux. Elle se releva puis alla s'étendre sur mon bureau. Je passai un bras autour de sa taille puis ma main gauche se glissa sous sa nuque. Sa petite main frêle agrippa la mienne et elle éclata de nouveau en sanglots. Je la serrai instinctivement contre moi.

- J'ai pas vraiment sommeil, l'entendis-je chuchoter.

Je resserai notre étreinte, alors qu'elle recommença à pleurer. Je la retournai dans mes bras pour qu'elle me fasse face. nos regards se perdirent l'un dans l'autre, alors qu'elle m'embrassait encore une fois.On regard se perdit dans le sien. Mes lèvres reprirent contact avec les siennes.

- Êtes-vous réellement malheureux? Dans votre mariage? me demanda t'elle hésitante.

Je ne savais pas trop comment lui expliquer tout ça. J'aimais ma femme, mais je ne sais pas pourquoi je n'étais pas capable de lui être fidèle. Pourtant Sofia était une femme merveilleuse qui pourrait avoir beaucoup mieux que moi. Elle pourrait avoir un mari qui la respecte et qui la comble plus que moi.

- Ce n'est pas que je ne suis pas heureux. J'aime ma femme, mais on dirait qu'il manque ce petit quelque chose qui m'empêcherait de la tromper. Je n'ai jamais vraiment réussi à être fidèle dans une relation. lançai-je la mine basse.

Brianna n'avait visiblement pas envie de dormir je crois qu'elle voulait en apprendre davantage sur ce qui se cachait derrière le mystérieux professeur Cooper.

Invité

Ainsi pressée contre lui, les yeux dans les yeux, ses lèvres effleurant les miennes; rien ne pouvait me faire sentir plus en sécurité que cela. Je connaissais les hommes, je savais aussi lesquels rendaient leurs femmes cocues. Professeur Cooper était l'un d'eux, mais cela semblait aussi lui taper sur les nerfs. Alors pourquoi la trompait-il?

-Ce n'est pas que je ne suis pas heureux. J'aime ma femme, mais on dirait qu'il manque un petit quelque chose, qui m'empêcherait de la tromper. Je n'ai jamais vraiment réussi à être fidèle dans une relation, lâcha-t-il.

Je vis dans ses yeux qu'il disait vrai. Je vis aussi qu'il comprenait que je n'avais aucune envie de dormir. Je voulais savoir ce qui se cachait derrière cet air sûr et en contrôle. Ma main caressa sa joue avec une douceur infinie. Mes yeux de glace ne lâchait pas les siens.

- Parce que vous vous êtes fait trompé, devinais-je.

Mon regard glissa de ses yeux à ses lèvres, je ne savais d'où sortait l'envie de les embrasser et ne jamais m'arrêter. Je mordis ma lèvre inférieure, alors que je réattirais son visage vers le mien. Mes lèvres se pressèrent de nouveau sur les siennes. Le temps sembla s'arrêter.

- Le sait-elle que vous la trompez? demandais-je contre ses lèvres, la voix fiévreuse de désir.

Je ne voulais que me sentir protégée et aimer. La sensation de bien-être que ses bras autour de mon corps m'apportait m'était inconnue. Ma main qui tenait la sienne, alla se glisser sous son aisselle, mes ongles s'enfonçant dans la chair de son dos. Je pressai nos corps encore plus proches l'un de l'autre. Sentant son coeur se débattre, le mien accorda son battement au sien.

- Certaines personnes ne sont pas faîtes pour aimer qu'une seule personne, râlais-je.

Invité

Sa main caressa ma joue d'une douceur qui ne lui ressemblais pas. Son regard ne lâcha pas le mien, elle me fixait clairement.

- Parce que vous vous êtes fait trompé, dit-elle.

Je ne sais pas comment, mais elle avait deviner. Je n'avais jamais vraiment remarqué jusqu'à ce jour, mais ma première copine m'avait trompé. Depuis ce jour, je n'avais jamais été capable de me contenter d'une seule femme. Son regard descendit vers mes lèvres, elle mordit les siennes avant de réattirer mon visage vers le sien pour m'embrasser encore une fois. Ma main alla fourrager dans sa chevelure emmêlée par nos ébats précédents.

- Le sait-elle que vous la trompez? demanda t'elle, d'une voix suave.

Brianna rapprocha nos corps plus près l'un de l'autre, ses ongles s'enfonçant dans ma peau. J'étais en sueur, mon coeur battait si rapidement que je croyais qu'il allait exploser. J'avais tellement envie d'elle, mais en même temps je n'avais pas envie qu'elle se remette à pleurer, qu'elle me dénonce au corps enseignant et que je perde mon emploi. J'adorais ce job, j'adorais mes élèves plus que tout et je devais être professionnel à partir de maintenant.

- Certaines personnes ne sont pas faîtes pour aimer qu'une seule personne, soupira t'elle près de mon oreille.

La cloche sonnant la fin de la retenue sonna et je soupirai, soulager. Je n'aurais pas à lui dire tout cela. Elle devait partir sinon tout cela aurait été suspect, aucun n'élève ne restait plus tard lors des retenues. Je me levai pour l'aider à remettre ses vêtements et je remis ma chemise par la même occasion.

-Tu devrais partir, dis-je d'un ton neutre.

Invité

Je vis bien, que ce que je venais de dire, ne lui plaisait pas du tout. La cloche sonna, signifiant la fin de ma retenue, Professeur se leva, me remettant mes vêtements et remettait les siens par la suite. Dans sa hâte, je compris qu'il voulait que je parte au plus vite, qu'il tenait plus à son putain d'emploi qu'à me faire sentir mieux.

- Tu devrais partir, lança-t-il d'un ton plat.

Plat, implaccable, froid et impossible de négocier. Mon coeur se brisa dans ma poitrine. Une fois de plus, on me refusait de l'affection. J'éclatai en sanglots de rage, avant de reboutonner ma chemise et replacer ma jupe. Je remis ma veste et tournant le dos à l'enseignant. Je traversai la salle de classe, d'un pas rapide.

- Un jour, vous allez le regretter, criais-je.

Je sortis de la salle de classe, claquant la porte derrière moi, je fonçai vers les cachots. Je heurtai une épaule sec, relevant la tête, je croisai le regard d'Amber Kingsley.

- TU TE POUSSE DE MON CHEMIN, CONNASSE, hurlais-je, avant de me sauver.

J'atteins ma salle commune, à bout de souffle et de larmes. Je soufflai le mot de passe et traversai la salle commune la tête basse. Je gravis l'escalier de mon dortoir, avant de me lancer sur mon lit et pleurai de nouveau, toutes les larmes de mon corps. JE me relevai d'un bond, agrippai un large sac de sport et y lançai un tas de vêtements, avant d'agripper ma baguette et mon balais. Je rabattis mon capuchon sur mes cheveux blonds et sortis. J'allais foutre le camp de cette école de merde. Je marchai vers la porte et déambulai vers le Hall. Je sortis par les grandes portes, avant d'enjamber mon balais et de m'envoler vers Pré-au-Lard et la Cabane Hurlante.

HJ: FUCKIN GONE BIATCH

» Zaëlle, the fire girl