I'm Drunk Again... {Pv Mase}

Invité

Il est minuit. Tout le monde dors et moi je suis en plein rencard avec ma bouteille de bourbon. La bouteille neuve en est maintenant à la moitié. Je suis tellement bourrée que je vois le mec sur la bouteille me faire des signes de la main. On s'entends très bien lui et moi. Il est bien le seul à m'apprécier lorsque je me retrouve dans cet état-là. Je décide de l'emporter avec moi pour une balade nocturne. Ce serait romantique si le mec sur la bouteille existait vraiment, mais pour l'instant j'ai seulement l'air d'une taré. En y pensant bien ce serait chouette d'avoir un mec dans ma vie. C'est le moment ou ma conscience s'y remets en me disant que personne ne m'aime alors ce serait impossible. J'essaie en vain de sortir de mon lit, je me retrouve au sol dans un bruit sourd. Je me relève d'un bond cachant la bouteille derrière mon dos, en étant sûre d'avoir réveiller quelqu'un. Je me passe une main sur le front soulagée de n'avoir réveiller personne, mis à part mon chat qui me regarde d'un air étrange. Il s'étire de tout son long avant de se lever et de venir me voir en miaulant.

- Shhhhh... fis-je un peu trop fort.

Mitaine sauta du lit furibond et s'élança vers la salle commune. Je le suivi en trébuchant quelque fois sur mon passage mais je me rendit sans réveiller personne jusqu'à la porte de sortie. Ça relevait miracle que je n'ai réveiller personne. Je marchai tranquillement dans les couloirs ma bouteille à la main, lorsqu'une envie pressante me saisie. Par chance, j'étais près des toilettes des filles et je m'y élançai en faisant un peu trop de bruit à mon goût. Je trébuchai devant l'entrée des toilettes et aussi devant la stalle. J'y entrai en m'appuyant sur les panneaux sinon je retombais clairement au sol. Je finis enfin par m'asseoir sur la dite toilette, ou je m'endormi ma bouteille de bourbon sur les cuisses.

La nuit porte conseil, ouais, mais si je suis juste insomniaque? Je déambulais tranquilement dans le corridor du premier étage sans but. Je portais mon pantalon de jogging gris et un tshirt blanc, mes cheveux roux étaient couvert par mon beanie noir. Dans ma main, je serrais ma baguette, en cas qu'un stupide préfet me trouvait dans les couloirs. Je tournai dans un corridor passablement noir,

- Lumos, chuchotais-je.

La pointe de ma baguette s'illumina d'une brillante lumière blanche, ce qui dérangea les portraits.

- Fermez cette putain de lumière.

Sous une pluie d'insultes, je me dirigeai vers les escaliers et gravis jusqu'au deuxième étage. Lorsque j'arrivai dans le corridor des toilettes des filles, je sursautai en entendant d'étranges bruits. Je me mis à marcher vers la provenance de ces «gémissements». Une fois arrivé devant l'entrée des toilettes des filles, mes pieds touchèrent à une flaque d'eau. Ewww! Mimi Geignarde faisait encore des siennes, pourtant les sons que j'entendais n'étaient pas ses pleurs, mais ils venaient d'un cabinet dans les toilettes.

- Brittany, la soûlonne; Brittany, la soûlonne, chantait Mimi.

- La ferme, Mimi, répliquais-je.

Je traversai la salle de bain, en faisant attention de ne pas glisser sur l'eau et arrivai devant la dernière stalle, la porte de cette dernière était fermée. Je poussai la porte doucement et vis Brittany Fords, assise sur le bol avec sa bouteille de bourbon sur ses cuisses. Les sons venaient d'elle, ses longs cheveux noirs et mauve couvraient son visage. Je poussai un soupir, me penchai vers elle et la pris dans mes bras, pour la transporter dans un coin sec de la salle de bain. Doucement, je lui tapotai les joues.

- Britt? Britt? Réveille-toi, soufflais-je.

Je sortis ma baguette de ma poche et la pointai sur le visage de la lionne.

- Aguamenti, murmurais-je.

Un petit filet d'eau éclaboussa le beau visage de Brittany, qui se réveilla en sursaut. J'eus un petit sourire gêné.

- Ça va?

Invité

Je me sentis un peu bousculée, mais je n'y fit pas attention. Quelques secondes plus tard, qui parut une éternité à mes yeux, je sentis de l'eau couler sur mon visage. Je me reveillai brusquement et me retrouvai dans les bras de Mase Ashford, le plus classe de tout les Poufsouffles. J'étais la seule à le penser du moins je crois. Mason ne parlait pas beaucoup, contrairement à moi. Je ne détestai aucunement la proximité de son corps du mien. Mase me lança un petit regard gêné.

- Ça va? me lança-t'il en rougissant légèrement.

Je ne lui répondit pas, j'étais encore sous les effets de l'alcool et j'avais grave envie de l'embrasser. Normalement j'aurais été capable de me contenir, mais là je n'avais aucune notion du temps et encore moins de mes sentiments. J'entourai son cou de mes bras et posai disgracieusement mes lèvres sur les siennes.

-Ouais ça va, tu sais que je t'ai toujours trouvé pas mal de mon goût petit rouquin. lançai-je moqueusement.

Mes joues étaient brûlantes, je devais être rouge tomate, en ce moment. Merde, Mason, reprends-toi! Pourtant, avoir cette lionne dans mes bras, en ce moment, n'était pas désagréable... Britanny, visiblement, toujours en état d'ébriété, passa ses bras autour de mon cou. Ses mains se croisèrent contre ma nuque et ses lèvres se posèrent sur les miennes. Pris de court, je gardai les yeux ronds et ouvert, pendant tout le baiser.

- Ouais, ça va, tu sais que je t'ai toujours trouvé pas mal de mon goût, petit rouquin, lança Ford, d'un ton moqueur.

Mes joues prirent une teinte rouge, encore plus éclatante, je ravalai de travers et regardai autour de moi. Personne en vue, pour me venir en aide, pas même cette nuisance de Mimi Geignarde! Par contre, je vis un long banc, collé au mur, je pris Britanny dans mes bras, en prenant garde de ne pas glisser sur le sol mouillé avec mes converses. Avec une grande douceur, je la posai, en position assise, sur le banc et m'agenouillai devant elle. Ma baguette, en main, je pointai la porte.

- Accio gobelet ! lançais-je.

Un verre de plastique arriva en volant et atterit dans ma main. Je me levai et allai le remplir d'eau, pour revenir vers Britt et lui tendre.

- Bois, dis-je. Ça va te désoûler. Je peux pas te porter dans mes bras à travers le château, ni te laisser ici.

Invité

Les joues de Mase virèrent au rouge écarlate et je vit qu'il se sentit mal à l'aise. Il jeta un oeil au alentours tel un petit animal stressé pour sa propre vie. Il me reprit dans ses bras et j'en profitai pour me blottir contre son torse en fermant les yeux. Le voyage ne fût pas long, au bout de quelques secondes, il me déposa sur un banc en s'agenouillant devant moi. J'aurais aimé me blottir contre lui plus longtemps j'adorais le mettre mal à l'aise. Le petit rouquin sortit sa baguette de sa poche et pointa la porte.

-Accio gobelet! lança t'il.

Un verre de plastique apparut dans sa main gauche. Il se releva pour aller le remplir d'eau avant de revenir vers moi pour me le tendre. Je n'avais pas du tout envie de ce verre d'eau, mais je vit qu'il insistait.

-Bois, ça va te désoûler. Je peux pas te porter dans mes bras à travers le château, ni te laisser ici.

J'avais réellement envie qu'il me reprenne dans ses bras forts. Je ne sais pas si s'était l'alcool qui me donnait cet envie ou si j'étais réellement attiré vers lui. Après une brève hésitation, je lui prit le gobelet des mains et le vidai d'un trait.

-C'est très gentil à toi de faire ça, dis-je d'une voix douce. J'en connait beaucoup qui m'aurait laisser ici sans s'en soucier.

Je le regardai dans les yeux, j'avais visiblement désouler un brin. Mon attitude à son égard ne changea cependant pas et cela me surprit. Je me perdit dans son regard noisette je ne bougeai pas. Jamais personne n'avait été aussi gentil avec moi. C'est pour cette raison que je me saoulais souvent. Pour oublier que j'étais la risée de l'école...

Ses yeux profonds me dévisageaient, je ne savais jamais quoi dire, parce que je ne parlais jamais. C'était aussi la première fois que Britanny m'adressait la parole et aussi mon premier vrai baiser... En moi, s'était éveillée l'envie de la prendre contre moi et de la protéger, mais je ne pouvais pas devenir soudainement quelqu'un, que je n'étais pas: sociable.

Ma main tenait toujours le gobelet en face d'elle, jusqu'à ce que la lionne l'aggripe et le cale. Son regard reprit un éclat plus naturel et sobre?

- C'est très gentil à toi de faire ça, dit-elle, tout bas. J'en connais beaucoup qui m'aurait laisser ici sans s'en soucier.

Britanny plongea son regard dans le mien. Elle venait de reprendre un brin de sobriété. Pourtant son comportement envers moi ne changeait pas, normalement, je me serais fait repousser. J'eu un petit sourire, avant de me reculer un peu, prendre le gobelet et retourner vers les lavabos pour le remplir. Une fois, le gobelet plein, je le tendis de nouveau vers Britanny.

- Je t'avertis, la gueule de bois va être horrible, si tu t'hydrate pas, dis-je lentement. Au fait... c'était quoi l'occasion?

Sur ces mots, je pris place à côté d'elle et me mis à ronger l'ongle peinturé noir de mon pouce. Je poussai un doux soupir. Et lui fis un petit sourire gêné. Je me sentais de plus en plus hors de ma zone de comfort. Je ne parlais à personne, cela m'allait.

- Mason Ashford, dis-je gentiment.

Je lui tendis la main, pour serrer la sienne.

Invité

Mase me sourit avant de retourner vers les lavabos pour me remplir le gobelet d'eau. Mon cerveau se mit aussitôt à arrêter de fonctionner normalement. Une fois le verre remplit, Mase revint auprès de moi avant de me le tendre.

- Je t'avertis, la gueule de bois va être horrible, si tu t'hydrate pas, dit-il lentement. Au fait... c'était quoi l'occasion?

Je n'avais pas vraiment envie de lui dire, mais comme il m'avait sauver d'une punition mortelle je devais lui dire la vérité.

-Je me sentais seule et les gens se moquent de moi constamment ici donc.., laissai-je sous-entendre.

J'allais quand même pas lui dire mot pour mot que je tentais de m'enlever la vie. Je suis folle je sais, mais pas à ce point. J'allais lui faire peur si je commençais à lui parler de tout mes petits problèmes. Mason prit place à mes côtés et se mit à ronger l'ongle de son pouce. Alors qu'il poussait un soupir, je songeai à quel point il avait l'air stressé. Comme pour confirmer mes pensés, Mase me fit un petit sourire.

- Mason Ashford, dit-il gentiment.

Il me tendit sa main et je la serrai dans la mienne en lui souriant.

-Brittany Fords, mais ça tu de vais déjà le savoir, dis-je en lui lançant un clin d'oeil, Moi je connaissais déjà ton nom en tout cas. Laissai-je sous entendre en souriant.

Je me préparai à partir vers mon dortoir, allant chercher ma bouteille dans la cabine ou Mase m'avait trouver.

-Merci encore pour ton aide Mase. Ça a été un réel plaisir de faire ta connaissance. On remets ça un de ces quatre ? demandai-je toujours en souriant

Ouais... Pathétique, le mec... Elle allait se mettre à rire et sûrement se foutre de ma gueule. On disait d'elle que c'était une vraie pie. Britanny ne semblait pas vraiment avoir envie de parler... Aller, Mason, si elle te plaît la brunette, invite-la à sortir. Ouais, mais je sais pas comment faire ça. Ouvre la bouche et parle, merde!

La petite main de Britanny Fords vint serrer la mienne. Sa peau était si douce. Ok, maintenant, attire-la à toi et embrasse-la! QUOI? Non, c'est pas très classe ça! Ma main devait être trempée de sueur.

- Britanny Fords, mais ça tu devrais déjà le savoir, lança-t-elle, avec un clin d'oeil. Oh oui, je savais, mais c'était par politesse, que je m'étais présenté. Moi, je connaissais déjà ton nom, en tout cas.

Elle souriait, c'était bon signe, non? Son sourire me donna un frisson, c'était un sourire franc et rayonnant... presque. Dans son regard, brillait une lueur, presque de tristesse. Je voulus la serrer contre moi et la protéger du reste du monde.

Elle se leva et se dirigea vers la cabine, où je l'avais trouvé plus tôt et en sortit avec sa bouteille de bourbon. Les rumeurs disaient qu'elle se soûlait à tous les soirs. Et bien sûr, avec une réputation comme cela, Brit devenait la cible de railleries.

- Merci encore pour ton aide Mase. Ça été un réel plaisir de faire ta connaissance. On remet ça un de ces quatres? demanda la lionne.

Je levai un regard ahuri sur la Gryffondor et lui souris timidement. Après quelques secondes, je hochai la tête lentement, avant de la rabaisser, je ne voulais pas qu'elle parte. Je voulais qu'elle reste avec moi. Je levai ma baguette et la pointai vers la porte.

- Hominum Revelio, chuchotais-je. Y'a personne sur cet étage, ajoutais-je, en pointant du doigt la porte. Tu... Voudrais pas rester un peu?

Sur ces mots, je tapotai la place à côté de moi. Je lui offris un sourire invitant, en espérant qu'elle accepte. Je voulais continuer de lui parler et de la connaître. De toute façon, j'étais invisible dans cette école, je n'avais pas besoin d'une réputation. J'en avais rien à chier de me faire railler, les gens de cette école n,étaient que des petits connards gâtés.

Je sortis de ma poche, un joint que j'avais acheté à Skyler Hawk, plus tôt dans la journée. Je l'allumai avec mon zippo de métal noir et pris une bouffée.

- T'as envie de discuter?

Invité

Mase leva un regard peiné sur moi comme s'il avait envie que je reste avec lui pour toujours. La tristesse de son regard laissa place à un timide sourire. Le rouquin pointa la porte de sa baguette.

- Hominum Revelio, l'entendis-je chuchoter.Y'a personne sur cet étage, tu... Voudrais pas rester un peu?

Mase tapota la place à ses côtés et je me mit à sourire comme une abrutie. Mon coeur se mit à battre plus fort au fur et à mesure que je m'approchait de lui.Son sourire eut l'effet d'une bombe. J'avais autant envie de rester que lui et je voulais que l'on discute toute la nuit jusqu'au petite heures du matin. Alors que je prenais place à ses côtés le rouquin sortit un joint de sa poche. Gracieuseté de Sky j'imagine. Il l'alluma et en pris une bouffée. Je restai là à le regarder super étonner. Je ne croyais pas que Mase était ce genre de mec, mais ça me plus.

- T'as envie de discuter? me dit-il d'un air décontracté.

Je lui pris le joint des doigts et en pris une longue bouffée en expirant doucement. Je sentis tout de suite mes muscle se décontracter et mon coeur reprit son rythme normal.

-Ça fait un bail que je n'ai pas discuter avec personne, alors oui ce serait avec plaisir. dis-je en lui tendant le joint. Les gens se foutent pas mal de ce que j'ai à raconter normalement. rajoutai-je en lui souriant gentiment.

Enfin quelqu'un qui s'intéressait à moi et à ce que j'avais à dire. D'instinct je serrai Mase dans mes bras aussi fort que je le pouvais et je me mit à sangloter doucement contre lui. Ça faisait si longtemps que personne ne me comprenait et que j'étais seule face à tous ces gens qui se moquaient de moi. Les seuls qui m'avaient toujours soutenus étaient mes parents et ils étaient très loin d'ici. J'attendais le jour du courrier avec impatience chaque semaine pour avoir de leurs nouvelles et lire leur mots réconfortants.

La fumée me piquait la gorge et les poumons, mais mon corps et mes muscles se détendirent, alors que j'expirais. Je sentais le regard de la lionne sur moi, il était vrai qu'on ne me voyait jamais fumer, mais c'était parce qu'on ne savait rien sur moi! Britanny prit le joint entre deux doigts et aspira la fumée enivrante. Elle expira le tout doucement et comme pour moi, la drogue fit son effet. Son corps, son visage et probablement son coeur se détendit.

- Ça fait un bail que je n'ai pas discuté avec personne, alors oui ce serait avec plaisir, dit-elle, en me tendant le joint. Les gens se foutent pas mal de ce que j'ai à raconter normalement.

Un peu de nul part, la lionne passa ses bras autour de moi et me serra contre elle de toutes ses forces. Je l'entendis se mettre à pleurer contre mon torse. Mon coeur se serra de tristesse pour elle, les gens ne faisaient que dire des médisances sur elle, sans la connaître et cela l'isolait du reste de l'école. Ma main, qui ne tenait pas le joint, se posa sur elle et caressa son dos doucement. Je pris une autre bouffée, afin de me donner du courage, l'expirai et posai mes lèvres contre son crâne.

- Les gens ici, sont des enfants de chienne, dis-je, sombremement. Te laisse pas abattre, tu vaux mieux que bien des gens! Imagine Trempt, il baise sa propre soeur. C'est encore plus grave que se soûler, pour oublier.

Ce n'était pas un très bon exemple, mais je faisais comprendre mon point. Je posai le joint entre ses deux doigts, remontai son visage vers le mien et lui offris mon plus beau sourire. Dieu, qu'elle était belle et elle ne le savait même pas! Ma main alla repousser sa frange de ses yeux, plongeant les miens dans son regard. Merde, je voulais tant l'attirer contre moi et l'embrasser avec toute la passion possible.

- Brit, soufflai-je.

Je m'interrompis et posai mes lèvres contre les siennes, en un petit baiser innocent.

- Tu es si belle.

Invité

Sa main se posa contre moi et me caressa d'une manière qui me rassura. Sa caresse me donna le courage dont j'avais besoin pour réprimer mon dernier sanglot. Je vis Mase prendre une autre bouffée, il l'expira doucement et posa ses lèvres contre le sommet de mon crâne.

- Les gens ici, sont des enfants de chienne, dit-il d'une voix rauque. Te laisse pas abattre, tu vaux mieux que bien des gens! Imagine Trempt, il baise sa propre soeur. C'est encore plus grave que se soûler, pour oublier.

À ses mots je ne pu m'empêcher de rire, c'est vrai que ses deux la étaient pathétiques. Mason me passa le joint et redressa mon visage pour que je puisse le regarder dans les yeux. Il me fit cadeau du plus beau sourire que je n'avais jamais vu. Mon regard resta scotché au sien pendant que le joint se consumait de lui-même entre mes doigts. Sa main repoussa la mèche de cheveux qui pendouillait devant mes yeux.

- Brit, l'entendis-je chuchoter.

À ses mots, Mason posa ses lèvres sur les miennes, mon coeur eut un raté. Ce baiser fût bref, mais ce fût assez pour que mon coeur se mettre à battre à la chamade.

- Tu es si belle.

Là encore mon coeur cessa de battre un instant et une larme roula sur ma joue. Jamais au grand jamais on ne m'avais dit cela auparavant. D'instinct je serrai Mase contre moi une autre fois. Si seulement il savait à quel point ça me faisait du bien de passer un moment comme celui-là en sa compagnie.

-Mason, merci d'être ici avec moi et d'être comme tu es. dis-je alors que le joint commençait à me brûler les doigts.

Je lachai le joint en jurant, alors que je me demandais encore comment un mec si parfait pouvais exister.

Mon coeur devait avoir cessé de battre, car un silence de mort planait sur la salle de bain. Une boule de je ne sais quoi bloquait ma gorge. Je venais d'embrasser Britanny Fords. Depuis la première fois, que j'avais posé mes yeux sur elle; que je voulais poser mes lèvres sur les siennes. Et putain, le nombre de chansons que j'avais écris sur elle! Ouaip, je suis pathétique!

Son regard toujours scotché dans le mien, je vis une petite larme couler sur sa joue. Si ma main avait été libre, j'aurais essuyer sa larme. Brit me serra contre elle, encore, je compris à quel point qu'elle était incroyablement fatiguée d'être seule. Cela me brisa le coeur, de la voir si seule et presque affaiblie par la cruauté des gens. Elle ne méritait pas ce traitement!

- Mason, merci d'être ici avec moi et d'être comme tu es, dit-elle, de sa voix douce.

Soudainement, un juron me tira de ma rêverie, je vis ma lionne lâcher le joint, qui s'était consummer dans la main de Brit. Je haussai mes épaules et écrasai le joint avec ma converse. Je pris la main la Gryffondor dans la mienne et posai mon regard sur la petite brûlure. Je posai mes lèvres sur le doigt de Brit.

- De rien, soufflai-je. Tu sais, les autres ont complétement tort, tu es fantastique, Brit.

Mon coeur se mit à se débattre avec folie dans ma poitrine. J'attirai Britanny à moi et reposai mes lèvres contre les siennes, en un baiser un peu plus long. L'une de mes mains tenait sa nuque et l'autre caressait son dos avec douceur. Je l'aimais, et voilà que mon cerveau se mettait à jour avec mon coeur. Depuis ma première année, je ressentais un amour presque fou pour Britanny Fords. Lorsque nos lèvres se séparèrent, j'eus un petit sourire nerveux, avant de me mettre à gratter ma main, nouvellement tatouée.

- Je ... je crois que... Je crois que je t'aime, murmurais-je.

Oh quelle belle déclaration, Mase! «Je crois que je t'aime»! Je mordis ma lèvre inférieure, tout en révisant ma connerie. Je grattais toujours ma main galée et éttoufai d'un juron en voyant un filet de sang en couler. Je me retournai vers Brit et caressai son visage de ma main propre, tentant de cacher la souillée.

- Non, je crois pas, je sais, dis-je.

Et sur ces mots, je repris les lèvres de la lionne.

Invité

Alors que le joint rejoignait le sol, Mason haussa des épaules et écrasa ce dernier de sa converse noir. C'est alors que le rouquin pris ma main dans la sienne et embrassa ma brûlure tel un prince charmant. Je levai un regard étonné sur lui.

- De rien, me souffla t'il a l'oreille. Tu sais, les autres ont complétement tort, tu es fantastique, Brit.

À ces mots, mes yeux s'agrandirent d'au moins 2 fois leur taille normal. Mon coeur voulait exploser sous tout cet amour dont Mase me faisait cadeau. Il m'attira contre lui et cette fois ce fût la bonne. Ce baiser j'en avais rêver toute ma vie. Ashford tenait ma nuque d'une main et de l'autre il me caressait le dos d'une manière qui m'apaisa immédiatement. Putain ce rouquin qu'est-ce qu'il me faisait de l'effet. Ce baiser dura quelque instant, mais j'eut l'impression qu'un millénaire venait de passer lorsque nos lèvres se séparèrent. Mon regard toujours dans le sien je sentis qu'il était nerveux. Je le vis gratter sa main, sûrement un nouveau tatouage, ça ne m'était pas inconnu.

- Je ... je crois que... Je crois que je t'aime, bégaya t'il.

Alors qu'il se mordillait la lèvre inférieure, Mason continua à gratter sont tatouage et ce que je redoutai arriva. Je lui sourit et il caressa mon visage de son autre main.

- Non, je crois pas, je sais, dit-il.

À cet instant, Mase reprit possession de mes lèvres. Je n'allais certainement pas dire non ! Ses lèvres me faisait tellement de bien. Je passai une main dans ses cheveux roux intensifiant le baiser du même coup. Je voulais lui répondre que je l'aimais aussi, mais sans les mots. Je rompis notre baiser et insistai pour qu'il me montre sa main blessé.

-Tu vas devoir mettre de la crème dessus si tu veux qu'il guérisse bien, lui conseillai-je. Mais avant tu devras le laver pour le désinfecter.

Je le regardai en souriant quand soudainement j'entendis des bruits de pas dans le couloir. Je regardai Mase, paniquée. Je n'avais pas envie d'aller en retenue pour m'être promener dans les couloirs en dehors des heures de cours. Je réalisai que j'avais encore ma bouteille d'alcool avec moi, j'allais avoir de très gros ennuie si je me faisait prendre.

-Aide-moi j'ai pas envie qu'on se fasse prendre, chuchotai-je.

L'embrasser était comme une drogue, quelque chose de fort, qui renversait mon monde. Si je n'avais pas à respirer, je ne cesserais jamais de l'embrasser. Sa main alla fourrager dans mes cheveux, cela intensifiant notre baiser. D'ici quelques secondes, je devrais lui retirer ses vêtements et l'aimer encore plus. Mon coeur allait littéralement défoncer ma poitrine. Brit brisa notre baiser et agrippa ma main ensanglantée.

- Tu vas devoir mettre de la crème dessus si tu veux qu'il guérisse bien, dit-elle . Mais avant tu devras le laver pour le désinfecter.

Je savais très bien tout cela, ce n'était pas mon premier tatouage. Gratter mes gales était un tic nerveux. Son visage se releva vers le mien avec un joli sourire, qui ne dura qu'une seconde, puisque des bruites de pas l'alerta. Son regard paniqué croisa le mien, un peu ennuyé.ses yeux se penchèrent sur sa bouteille, merde.

- Aide-moi, j'ai pas envie qu'on se fasse prendre, chuchota Fords.

Je me levai, lui pris sa bouteille, d'une main et de l'autre, j'agrippai sa main et l'entraînai dans le cabinet de toilette; le plus éloigné de la porte. Je la fis entrer la première, posai la bouteille dans l'eau de la toilette, fis grimper Britanny sur le bol et l'aidai à accoter son dos au mur, afin qu'elle ne tombe pas. Comme jallais grimper à mon tour, j'entendis la porte ouvrir. Je me tournai et pointai ma baguette sur la porte du cabinet.

- Protego Maxima, soufflais-je.

La concierge, Miss Zdrach, fit le tour de la salle de bain et repartis sans rien dire. Je laissai partir un doux soupir de soulagement et me retournai vers Britanny. Mon regard croisa le sien. Je la pris dans mes bras, afin de l'aider à descendre, mais ne la lâchai pas lorsqu'elle eut les pieds au sol. Son corps était pressé au mien, son regard plongé dans le mien et mes mains glissèrent sur son corps, pour se poser contre ses hanches.

- On va être tranquile pour un petit moment, chuchotais-je.

Sur ces mots, mes lèvres retrouvèrent celle de ma belle Gryffondor. Doucement, j'inversai nos positions, la coinçant entre le mur et moi, alors que je la soulevais de terre, tenant ses cuisses pour l'empêcher de tomber. Mes lèvres caressaient les siennes avec passion, avant de voyager dans le creux de son cou. Je remontai vers sa bouche, pour mordre avec tendresse sa lèvre inférieure. Pour rien au monde, je ne quitterais cette place.

- On va devoir rester silencieux, rigolais-je.

Une lueur moqueuse brillait dans mes yeux bruns. J'avais terriblement envie d'elle, maintenant. J'avais envie de passer ma vie à l'aimer et l'embrasser.

Invité

Mase se leva, pris ma bouteille d'une main et me pressa vers la cabine des toilettes la plus éloigné de l'entrée. Le rouquin déposa ma bouteille d'Alcool dans l'eau de la cuvette, puis me fit monter sur le bol. Il m'aida a m'appuyer contre les parois du cabinet. Je vis que Mase était sur le point de monter avec moi, mais le battement de la porte d'entrée se fit entendre. Mon blaireau se tourna vers la porte , la pointant de sa baguette avant d'y jeter un sort de protection.

La concierge fit le tour de la pièce et repartis aussitôt. Mon rouquin laissa échapper un soupir, visiblement soulagé. Il se retourna vers moi, nos regards se croisèrent et il me prit dans ses bras pour me faire descendre. Il ne me lâcha pas lorsque mes pieds touchèrent le sol. Nos corps pressés l'un contre l'autre me donna envie que nos lèvres se touche en une douce caresse. Ses mains glissèrent le long de mon dos jusqu'à mes hanches.

- On va être tranquile pour un petit moment, l'entendis-je me chuchoter au creux de l'oreille.

Je n'eu pas le temps de réagir ni de placer un mot que ses lèvres étaient déjà scotchés au miennes. Décidément ce mec lisait dans mes pensées. Mase inversa nos positions je me retrouvais prise au piège entre le mur et mon rouquin. Il me souleva aisément de terre et je me retrouvai adossée au mur, les jambes croisés autour de ses hanches. Mase étendit ses baisers vers mon cou et bientôt ses baisers ne suffirent plus j'avais besoin de quelque chose d'encore plus intime. Alors qu'il remontait vers mes lèvres je ne pu retenir un gémissement. Lorsqu'il revint à mes lèvres il me mordit l'inférieur passionnément. Pour rien au monde j'aurais voulu que tout cela s'arrête.

- On va devoir rester silencieux, dit-il en riant.

Il faisait sûrement référence à mon gémissement de tout à l'heure. Il me regardait comme un gamin 6 ans à la veille de noël je ne pouvais pas résister à cela.

-Désolé, dis-je en souriant faisant référence au vacarme que je venais de produire. Mais tu me donne vraiment envie de toi en ce moment. rajoutai-je sans gêne.

Toujours coincé entre la porte et Mason, je commençai à caresser son torse sous son t-shirt. Je scrutai son regard essayant de déceler le moindre signe qui me montrerais son désaccord. Je baissai le regard vers le sol et remarquai une bosse au niveau de son pantalon. Il était visiblement aussi excité que moi.

-Je peux voir que t'en a envie, mais j'ai un peu peur vu que ce sera ma première fois. Je n'ai pas peur de le regretter loin de là j'ai juste peur de ne pas aimer ça vu que sa me fera mal évidemment. lançai-je d'un trait le regard toujours rivé au sol.

J'étais encore vierge eh oui ! Je savais que la plupart de l'école ne l'était plus depuis longtemps, mais je n'étais pas au courant pour Mase. Pour moi c'était une première d'être aimé de la sorte par quelqu'un, donc il était évident que je le sois toujours.

Malgré le fait que je lui avais dire de ne pas gémir, je voulais le contraire, je voulais qu'elle gémisse car ils étaient comme une vraie mélodie à mes oreilles. Sa peau contre la mienne était la plus douce des caresses. J'avais envie d'elle, je voulais passer le restant de mes jours avec elle. OH! Mason, calme-toi!

- Désolée, dit-elle, en souriant. Mais tu me donne vraiment envie de toi en ce moment.

Ses mains allèrent caresser mon torse sous mon t-shirt. Ses yeux se plongèrent dans les miens, afin de de chercher le moindre signe de refus, avant de les baisser vers le carrelage et remarqua l'érection naissante dans mes pantalons. Disons, que j'avais autant envie d'elle, qu'elle de moi.

- Je peux voir que t'en a envie, mais j'ai un peur vu que ce sera ma première fois. Je n'ai pas peur de le regretter loin de là j'ai juste pur de ne pas aimer ça vu que ça me fera mal évidemment, ajouta-t-elle sans s'interompre.

Je compris qu'elle était toujours vierge. Personnellement, j'étais encore puceau, je n'avais que faire, que des gens de cette école, plus jeunes que moi ne l'étaient plus. Me rappelant la triste réputation de Britanny, je compris que se sentir ainsi aimer était quelque chose de nouveau. Je plongeai un regard amoureux dans les siens et caressai sa joue du revers de ma joue.

- T'inquiète, chuchotais-je. Je l'ai jamais fait non plus... Dis-moi d'arrêter si tu as mal.

J'avais dit les derniers mots d'une voix rauque. Mes lèvres retrouvèrent les siennes, en essayant de faire taire ses inquiétudes. Mes mains l'attirèrent plus contre, au point que nos corps étaient pressés l'un contre l'autre. L'une de mes mains alla baisser l'un de ses bretelles, pour laisser une place à ma bouche, qui alla embrasser son épaule nue. Mon érection se faisait de plus en plus présente et douloureuse. Ma respiration était entrecoupé. J'enlevai la camisole de Brit, pour me frayer un chemin de baisers de son cou, jusqu'à son bas ventre. Entre chaque baisers, je mordais doucement sa peau.

- Tout va bien? demandais-je, en chuchotant.

Je venais de lever les yeux vers elle. Dieu, qu'elle était belle!

Invité

- T'inquiète, l'entendis-je chuchoter au creux de mon oreille. Je l'ai jamais fait non plus... Dis-moi d'arrêter si tu as mal.

Ces mots eurent l'effet escompter, cela me rassurait tellement d'avoir ma première fois avec quelqu'un comme Mason. Il voulait mon plaisir autant que le sien et il ne voulait aucunement que je souffre.Ses lèvres retrouvèrent les miennes dans une douce caresse. Une vague de chaleur me submergea balayant du même coup les inquiétudes qui me tourmentait. Mason m'attira un peu plus contre lui et je chavirai lorsqu'il commença à baiser mon cou et mes épaules, j'en avais la chair de poule. Je remarquai que sa respiration jusqu'ici normale se faisait irrégulière. Ma main descendit instinctivement vers son érection que je caressai doucement par dessus son pantalon. Mon rouquin entreprit d'enlever ma camisole noire et je ne l'empêchai aucunement. Mason continua son petit tour de passe passe qui me donnait toujours la chair de poule soit dit en passant. Cette fois il descendit vers mon bas ventre en mordillant entre chaque baiser.

- Tout va bien? l'entendis-je chuchoter.

Mason leva son regard noisette vers moi et je ne pus que hocher la tête comme réponse. Une vague d'émotions me submergeait et je ne comprenais plus mes propres pensées.

Alors que je la sentais frissonner sous mes caresses, je levai les yeux vers elle. Britt hocha la tête, sans pouvoir dire un mot. Je compris qu'elle aimait cela, ce qui me rassura, puisque je ne savais pas ce que je faisais. Je sentais sa main caresser mon érection naissante. Merde, il fallait qu'elle arrête, sinon j'allais venir partout. Putain, Mason, peux-tu être plus dégoûtant ?!

Mes mains défirent lentement le lacet de son pyjama, avant de le baisser en douceur. Je découvris son intimité, nue, je m'arrêtai d'un coup, avant de rougir profondément. Je mordis ma lèvre inférieure, avant de poser un petit baiser sur son sexe. Ma langue alla titiller son petit bouton de chair. Après un petit moment de ce traitement, je défis mon lacet de jogging et retirai mon pantalon. Mon boxer était tendu à cause de mon érection.

Je me relevai d'un bond, avant de la prendre dans mes bras et d'une main descendre mon boxer. Comme je posai son dos au mur, alors que j'enlignais mon sexe tendu avec l'entrée de son antre. D'un doux coup de hanche, je pénétrai Britt. J'entamai un lent et doux va et vien en elle.

- Tout.. Tout va bien? demandais-je.

J'espérais que je ne lui faisais pas mal, puisqu'elle était incroyablement serrée.

Invité

Mason défit doucement le lacet qui retenait mon pyjama sur mes hanches. Il passa ensuite une main sous le tissu pour le faire glisser jusqu'à mes chevilles. J'avais étrangement chaud, le château avait toujours été froid et humide mais cette fois-ci ,pour la première fois, des perles de sueur apparurent sur mon front. Mason découvrant mon intimité nue s'arrêta et mordit sa lèvre inférieure avant de rougir intensément. Il descendit sa bouche vers mon sexe qu'il embrassa chastement puis se lança dans un baiser en profondeur. Je dû me tenir au parois de la cabine pour ne pas chavirer je n'avais jamais ressenti une telle sensation dans toute ma vie. Après un petit moment qui me parut trop court Mason le lacet de son jogging qui le retenait en place et le retira laissant place à son boxer tendu par son érection. Il se releva me regardant dans les yeux son regard de braise eu l'effet d'une bombe sur moi. Il me prit dans ses bras et j'humai doucement son odeur enivrante, alors qu'il descendait son boxer. Il m'adossa au mur enlignant son sexe vers l'entrée du mien et d'un doux coup de hanche il était en moi. Je calai mon visage contre l'épaule d'Alan pour étouffer un gémissement.Un frisson me parcouru, mais je n'eut mal que quelque seconde. Lorsqu'il commença son va et viens en moi j'oubliai tout.

- Tout.. Tout va bien? me dit-il à l'oreille.

Je répondis à l'affirmative seulement en hochant la tête, je n'étais pas capable de prononcé un mot sans gémir si fort que toute l'école pourrait m'entendre. Je passai un main sous le t-shirt de Mason caressant son torse doucement. Je me collai à lui mordillant tout ce qui se trouvait devant mon visage soit son cou et son lobe d'oreille. Je m'accrochai à lui désespérément tel un bébé Koala. Je me retenais toujours pour ne pas faire de bruit, mais là s'en était trop je n'en pouvais plus. Je commençai tout doucement à soupirer bruyamment près de son oreille, puis le bruit s'amplifia avec l'ardeur auquel il s'y mettait.

La sensation de son corps contre le mien était enivrante. Je serai prêt à tout laisser pour elle, je laisserais tomber tout ce que j'ai de plus cher, pour continuer de sentir ses frissons de plaisir ou entendre ses gémissements.

Britanny hocha la tête positivement, en réponse à ma question. Sa main passa sous mon tshirt pour caresser mon torse avec douceur. Elle pressa son corps encore plus contre le mien, tout en mordillant doucement mon cou et mon lobe d'oreille. Ma lionne s'accrochait désespérément à moi, tout en essayant de ne pas faire trop de bruit. Mais je commençai à croire cela impossible, car elle se mit à soupirer violemment près de mon oreille. Cela prenant de l'amplitude, entre chaque va et vien.

- Chuuuut... soufflais-je, en rigolant doucement.

J'accélérais mon mouvement, en allant embrasser la peau sensible de son cou. Mon érection devenait en plus en plus douloureuse, alors que je m'activais en elle. Ma propre respiration devenait de plus en plus bruyante. Comprenant, que ni moi, ni ma douce Britanny, ne pourrions rester silecieux; j'agrippai ma baguette et la pointai sur la porte. Je lançai un sortilège de sourdine sur la porte. Je me tournai vers ma jolie lionne et lui souris, avant de lâcher ma baguette et de reposer mes lèvres sur les siennes.

- Tu es magnifique, râlais-je, sous la passion.

Je continuai mon rapide va et vien en elle, tout en mordant son cou doucement. Rien ne saurait me tirer de ses bras. Après de longs moments parfaits, parsemés de gémissements et de frissons de plaisir, je sentis l'orgasme me frapper de plein fouet, alors que je sortais mon sexe de son intimité. Ma semence coula sur son genoux. Je poussai un long râle. Je rougis en voyant le liquide blanc couler le long de la belle jambe de Britt.

- Merde! m'exclamais-je, en rougissant. Désolé!

J'agrippai un morceau de papier hygiénique et essuyai la jambe de la belle lionne. Je levai un regard gêné vers elle, avant de poser mes lèvres sur les siennes.

- A...Alors? demandais-je, insécure.

Invité

- Chuuuut... me souffla Mase, en rigolant doucement.

Mase accéléra et je le regardai sévèrement, je ne pouvais pas me taire. Comme réponse il alla embrasser la peau de mon cou. Sa respiration devenait sifflante, il ressentait la même chose que moi en ce moment. Nous étions en complète symbiose. Il comprit alors ce que j'essayais de lui dire depuis un moment. Mon blaireau agrippa sa baguette et jeta un sort sur la porte pour que personne ne nous entende. Il se retourna pour me sourire et il ne prit meme pas la peine de serrer sa baguette. Il la laissa tomber sur le sol et reposa immédiatement ses lèvres sur les miennes. Il faut croire que j'étais une priorité en ce moment.

- Tu es magnifique, l'entendis-je soupirer entre deux baisers.

Il continua son va et vien en moi alors que les larmes roulait sur mes joues. Jamais je n'aurais cru que ce soir serait un des plus beaux moments de ma vie. Jamais je n'aurais cru qu'en brisant les règles ce soir je tomberais amoureuse de Mason et que ce serait réciproque. Mason mordillait mon cou et je me laissai aller, il me faisait tellement de bien. Après un moment, l'extase me frappa sans que je ne m'y attende je serrai Mason contre moi du plus fort que je pouvais en laissant échapper des cris de satisfaction. Se fût le tour de Mason ensuite, alors qu'il se retirait. Il éjacula sur mon genou en poussant le râle le plus sexy que je n'avais jamais entendu.

- Merde! s'exclama t'il. Désolé!

Il agrippa un morceau de papier hygiénique essayant de me laver de sa semence. Il me regarda toujours aussi gêné par la suite. Je devais dire quelque chose, mais ses lèvres brûlantes de désir m'en empêchèrent.

- A...Alors? me demanda t'il, insécure.

-S'.. S'était parfait. Bégayai-je toujours sous le choc de tout ce qui venait de se passer.

Je jetai un coup d'oeil à l'horloge, je n'avais pas dormi de la nuit et pourtant je n'étais pas fatigué. Les cours commençaient bientôt déjà, j'entendais les oiseaux piailler à l'extérieur. Je n'avais pas du tout envie de partir et me retrouver seule encore une fois, je voulais rester avec Mason.

- On devrait peut-être filer à nos dortoirs, les cours commencent bientôt. dis-je en baissant le regard.

Je lui avais ... Et sur elle en plus! Ouais, Mase, t'es vraiment Roméo! Je continuais à me maudire silencieusement, quand je la vis ouvrir la bouche. Oh charmant! Elle allait se foutre de ma gueule. Oh et puis, j'y suis habitué.

- C'... C'était parfait, bégaya Brit.

Son regard me quitta, pour aller se poser sur l'horloge au mur. 6:00 am. Oups. Les cours allaient commencer, les oiseaux dehors commençaient à chanter. Je crois qu'aujourd'hui, j'allais manquer les cours, je n'avais pas envie de quitter Britanny. Je pourrais la rammener à mon dortoir et dormir avec elle dans mes bras.

- On devrait peut-être filer à nos dortoirs, les cours commencent bientôt, dit-elle.

Son regard baissa vers le sol. Mon coeur se serra à l'idée de sortir, affronter le monde sans elle à mes côtés. Je pris sa main dans la mienne, avant de relever son visage vers le mien. Une petite lueur d'excitation brilla dans mes yeux bruns.

- Ou, je pourrais te rammener chez moi, on pourrait faire un somme dans mon lit? demandais-je, un petit sourire sur mes lèvres.

Je posai ma bouche sur la sienne, afin de la faire flancher du côté de mon idée. Je serrai sa petite main dans la mienne, avant de débarrer le cabinet de toilette et de sortir. Nous nous retrouvâmes en face d'une petite fille de ma maison, Brooklyn Pierce. Elle me fit un petit sourire, avant de baisser le regard et se sauver vers un autre cabinet. J'éclatai d'un rire franc, avant d'entraîner ma lionne en dehors des salles de bains et vers ma salle commune.

Nous arrivâmes devant les tonneaux, qui barraient l'entrée de la salle commune. Je soufflai le mot de passe et les barils se tassèrent par magie. J'ouvris discrètement la porte et voyant que la salle était vide, je tirai Britanny à ma suite vers les escaliers de mon dortoir. Je m'arrêtai devant mon lit défait et lui lançai un petit sourire gêné.

-C'est mon lit, dis-je, en m'asseyant et m'étendant.

Invité

Mason pris ma main dans la sienne et releva mon visage vers le sien. Nos regard ne se cachèrent plus d'une semelle. Je vis son regard étinceler alors qu'une merveilleuse idée traversait son esprit.

- Ou, je pourrais te rammener chez moi, on pourrait faire un somme dans mon lit? me dit-il alors qu'un petit sourire étira ses lèvres.

Il m'embrassa immédiatement ensuite, il savait sûrement que ma réponse aurait été non. J'avais toujours été une petite fille modèle qui faisait attention pour ne jamais se faire prendre. Cela datait depuis que je m'étais faite mettre dehors de ma première école de moldu. Il serra ma main dans la sienne, débarra le cabinet de toilette et nous en fît sortir. Nous tombâmes face à face avec Brooklyn Pierce qui était dans la même maison que mon copain. Elle lui sourit avant de disparaître vers un autre cabinet. Mason éclata de rire et je ne pu m'empêcher de trouver cela incroyablement sexy. Il m'entraîna vers sa salle commune et je n'avais pas le choix de le suivre mon coeur le voulait mais ma tête me disait le contraire. J'écoutai mon coeur pour une fois. Nous arrivâmes devant la salle commune des blaireaux, Mason souffla le mot de passe et nous entrâmes à l'intérieur après que Mason se soit assurer qu'il n'y ait personne. Je le suivi jusqu'à son lit, il me fit un petit sourire gêné avant de s'y asseoir.

-C'est mon lit, dit-il, en s'étendant de tout son long.

Je le rejoignis et m'étendis à ses côtés. Mason passa un bras autour de ma taille après avoir tirer la couverture sur nos deux corps enlacés. Je soupirai d'aise alors qu'il collait encore plus son corps près du mien.

-Je t'aime Mason. soufflai-je avant de m'endormir.

Hj: Gone