Deux pères et une mère?

Il était aisément facile à avoir. Bon, il était vrai que c'était facile obtenir ce que l'on voulait d'une personne qui nous aimait profondément. Eh bon, je n'avais pas été à Serpentard pour rien. Il était sûr et certain que j'allais profiter de ce pouvoir, même si c'était sans que je m'en rende compte. En ce moment même, je brûlais de désir. Je voulais qu'il me prenne, et il allait le faire même s'il en avait pas envie. Cependant, je n'eus même pas à le forcer. Je vis bien que l'idée l'avait même allumé en fait.

À quatre pattes, me dit durement Cedric.

Avec un petit sourire en coin, je n'eus d'autre choix que d'obéir. J'embrassai tendrement ses lèvres avant de de m'agenouiller, puis de m'accoter sur mes mains. Je pris une profonde inspiration alors que je sentais mon amoureux s'installer près de moi. J'en frissonnais déjà. Ses mains passèrent alors de mes épaules jusqu'à ma nuque. J'étais impatient... Il était mieux de me pénétrer et plus vite que ça ! Comme s'il avait entendu mon ordre, son membre entra en moi avec force, me faisant gémir, beaucoup plus fort que je ne l'aurais voulu. Il m'emplissait au complet, ce qui était une chose plutôt rare... Ce que je voulais dire, c'était qu'il était affreusement bien membré, comparé à mes plusieurs conquêtes.

Avec l'aide de mes hanches, je faisais tout pour amplifier la pénétration, faisant hurler mon amant autant que moi. Je soulevai alors l'une de mes mains, allant empoigner mon propre membre, entamant de ce fait un long mouvement de va-et-vient, me faisant frissonner de plus en plus. Lorsque l'orgasme allait frapper, ça allait être extra.

Ah... Ce... Ced... haletais-je entre deux gémissements. Je t'aime.

Rien n'était plus jouissif que d'entendre les gémissements de plaisir, que poussait mon amant. Chaques coups de hanches, le faisait gémir. J'en jouissais. Il faut dire que chaques fois que mon membre bien tendu entrait en lui, il l'emplissait, les côtés de mon sexe frottaient sur les parois de son intimité. Eliott amplifia le mouvement en se balançant d'avant en arrière, aidant à la pénétration. Je le vis lever l'une de ses mains et la porter à son sexe, entamant un long va et vien.

Ah...Ce...Ced...,haleta-t-il, Je t'aime.

J'accélérai mes coups de hanches, le sentant trembler contre moi. Je sentais l'orgasme s'en venir, mes mains étaient devenues moites. J'attrapai son sexe de ma main droite, remplacant la sienne et réentamai un long,mais rapide va et vien.

Je t'aime Butcher, chuchotais-je.

Au même moment, l'orgasme me frappa, je me retirai, laissant mon liquide séminal couler dans le dos de mon amant. Je retournais mon Eliott, et le prit en bouche,afin de lui donner un puissant orgasme. Mes mains griffaient ses cuisses, pendant que je gémissais.

Comme si j'étais pas déjà en train de perdre le contrôle de moi, il fallait que mon amoureux accélère la cadence. Ses coups de hanches étaient rendus tellement rapides que je sentais que j'allais perdre la totale maîtrise de mon corps et m'effondrer contre le sol. Mais je devais me retenir. Je devais me retenir afin d'avoir l'orgasme le plus révélateur que j'avais jamais eu. Je fermai donc les yeux, afin de me concentrer uniquement sur le plaisir que cette partie de jambes en l'air me donnait. C'est à ce moment que Cedric remplaça ma main sur mon membre par la sienne, augmentant soudainement la fréquence de mes gémissements. Je ne tiendrai plus bien longtemps à ce rythme...

Je t'aime Butcher, me susurra-t-il au creux de l'oreille.

Je le savais. Et je voulais te l'entendre dire jusqu'à la fin de mes jours. Pour l'éternité. Tu étais à moi et tu n'avais pas le droit d'aimer personne d'autre.

Ce ne fut qu'à ce moment que je m'écroulai, plus capable de me tenir sur mes mains. Et Ced aussi. Il se retira, et je sentis un liquide chaud couler contre le bas de mon dos. Il ne prit pas le temps de se remettre de son orgasme. Non. Il me retourna aussitôt, question de me prendre en bouche. Ma main alla instantanément se nicher dans ses cheveux, les tirant peut-être un peu trop fort. Mais c'était trop. C'est alors que ses ongles se plantèrent dans la peau de mes cuisses, me laissant échapper un long gémissement, mais également abattu par l'orgasme. Mon sperme se déversa dans la bouche de mon amant, qui avala tout comme un grand garçon. Je remontai son joli visage vers le mien, avant d'embrasser ses lèvres avec passion.

Je t'aime, lui murmurais-je avant de me blottir contre lui. T'es mieux de toujours m'aimer, rajoutais-je sur un ton boudeur et presque inaudible.

Sujet: Re: Deux pères et une mère? Mer 14 Jan 2015, 20:57

Pas très longtemps après que j'ai enfoncé mes ongles dans la peau des cuisses de mon amant, Eliott laissa échapper un long gémissement de plaisir. L'orgasme venait de le frapper, j'avalais le tout comme l'amant que j'étais. Une fois que le tout soit avalé, mon amoureux prit mon visage et l'attira vers le sien, pour m'embrasser fiévreusement.

Je t'aime, râla-t-il en se collant contre moi. T'es mieux de toujours m'aimer.

Son ton n'entendais pas à la plaisanterie. Je souris, l'attirant plus serrer contre moi. Je posai mes lèvres contre les siennes.

Jamais, dis-je amoureusement. Jamais je pourrai arrêter de t'aimer. Tu es mien, je suis tien.

Je me retournai,pour farfouiller dans mon tas de vêtements, trouvai ma montre et vis que la nuit avait laissée sa place au jour. J'embrassai tendrement mon amant.

Eliott, mon était doux et aimant. Je resterai bien là avec toi. Mais si l'on reste là, on risque de se faire assassiner par Angélique. Et toi et moi avons des retenues à superviser.

Je souris à la pensée, de voir Angélique Castair nous surprendre nu et collés l'un contre l'autre sur le plancher de son infirmerie. J'aidais Eliott à se lever, avant d'embrasser ses lèvres et d'attraper mon boxer et le revêtir. Je m'assis sur l'un des lits et souris à mon amant.

Je t'aime vraiment plus que tout, dis-je.

Sujet: Re: Deux pères et une mère? Mer 21 Jan 2015, 13:17

Je m'étais laissé avoir, emporté. Ce n'était qu'une question de temps maintenant avant que mon bonheur ne soit gâché. Mais comme la première fois, je n'y pensais pas. Je ne pensais pas à quel point ma famille allait de nouveau pourrir ma vie lorsqu'ils l'apprendraient. Tout ce que je voyais, c'était le magnifique sourire de Cedric. Il me serra encore plus fort dans ses bras, dans lesquels je me sentais en sécurité, à l'abri de tout. Ses lèvres se posèrent tendrement contre les miennes et j'en profitait pour savourer pleinement ce baiser. Mon coeur battait la chamade dans ma poitrine, comme si j'étais un jeune adolescent qui embrassait une fille pour la première fois.

Jamais, me murmura-t-il. Jamais je pourrai arrêter de t'aimer. Tu es mien, je suis tien.

Soudain, Cedric relâcha son étreinte quelque peu afin de chercher quelque chose. Je fronçai les sourcils. Que pouvait-il bien vouloir de plus que moi? Je souris à l'idée d'avoir eu cette pensée. Et je ne pus m'empêcher d'éclater de rire lorsque je vis sa montre entre ses mains. Venais-je de jalouser une montre ? Eh oui. Comme un pauvre idiot, je venais d'envier l'attention que mon amoureux portait à sa montre. Cependant, ses lèvres retrouvèrent aussitôt leur chemin jusqu'aux miennes, me rendant de plus en plus fou à chaque instant qui passait.

Eliott, me dit doucement Ced. Je resterais bien là avec toi. Mais si l'on reste là, on risque de se faire assassiner par Angélique. Et toi et moi avons des retenues à superviser, continua-t-il.

Aussitôt, je fis la moue. Je n'avais pas du tout envie d'aller superviser une retenue. Particulièrement si je n'avais rien à en tirer. Et ce n'était pas avec la jeune Brooklyn Pierce que j'allais tirer quoi que ce soit. Cependant, je me doutais bien qu'en annulant cette retenue, j'aurais beaucoup à gagner à rester avec Cedric. Malheureusement, il était un prof beaucoup plus à son affaire que moi. Il m'aida donc à me mettre sur mes deux pieds, visiblement déterminé à aller emmerder une étudiante. Ses lèvres caressèrent de nouveau les miennes, et je ne pouvais m'empêcher de sourire comme un bel idiot. Je me penchai alors afin de revêtir mon boxer. Lorsque je me retournai, je vis Ced assis sur l'un des lits.

Je t'aime vraiment plus que tout, me lança-t-il le sourire aux lèvres.

Je marchai jusqu'à lui, déposant un premier genou à côté de sa cuisse, puis le deuxième de l'autre côté. Je collai mon torse contre le sien avant de lui arracher un long baiser langoureux et passionné. Je l'aimais. Beaucoup plus qu'il ne devait le penser. Tout en continuant à l'embrasser, je l'obligeai à se coucher contre le matelas. Je mis alors fin aux baisers, plantant mon regard dans le sien.

Pas plus que moi, murmurais-je.

Je lui volai un dernier baiser avant de me relever afin de revêtir le reste de mes vêtements qui jonchait contre le plancher de l'infirmerie. Ce n'était vraiment pas une bonne place où les laisser traîner...

Sujet: Re: Deux pères et une mère? Ven 23 Jan 2015, 20:25

Cette moue, elle me faisait fondre. J'étais assis à observer mon petit ami se rhabiller, je venais delui dire que je l'aimais. Eliott se retourna, franchit la petite distance qui nous séparait et grimpa sur le lit, par dessus moi. Il se blottit contre moi, avant d'aller voler un long baiser sur mes lèvres. Je me sentis alors descendre contre le lit, les baisers d'Eliott continuant de m'étourdir. S'il continuait, je ne pourrais me retenir. Il interrompit nos embrassades, pour plonger son regard perçant dans le mien.

Pas plus que moi, chuchota-t-il.

Je souris, lorsqu'il posa rapidement ses lèvres contre les miennes. Il descendit du lit et continua de se rhabiller. Je pris ma chemise qui traînait à terre et la boutonna doucement en matant le derrière mon amant,bien moulé dans son jean. Je posai un regard sur ma montre et vit que je devais me rendre à mon bureau, avant d'aller surveiller une retenue. J'avançais vers Eliott et lui pinçai une fesse, avant de poser mes lèvres contre sa nuque.

On se retrouve au souper, susurrais-je à son oreille.

Je lançais un clin d'oeil à mon amoureux en me dirigeant vers la sortie. Il ne vit pas mon sourire idiot, je repensais à notre nuit. Je l'aimais, j'aimais mon bourreau d'école...

HJ: On a des retenues à surveiller babe Wink

Je vais à la mienne Razz

Sujet: Re: Deux pères et une mère? Lun 26 Jan 2015, 19:53

Était-il possible d'aimer quelqu'un que l'on avait tant détesté à ce point? Il fallait bien le croire, puisque j'étais fou amoureux de Cedric Elgort, ce gars que j'avais tant tyrannisé lors de mon passage en tant qu'élève à Poudlard. Je me saisis de mon jeans et le revêtis, avant de faire la même chose avec mon chandail. J'eus à peine le temps de terminer de la passer par-dessus ma tête que Ced me pinça une fesse et posa tendrement ses lèvres contre la peau de ma nuque. Un long frisson me parcourut le corps alors que je me retournai vers lui. Il était juste parfait... bien le contraire de ce que moi j'étais.

On se retrouve au souper, me murmura-t-il au creux de l'oreille.

Je ne pus m'empêcher de sourire alors qu'il me lançait un clin d'oeil, se dirigeant du même fait vers la sortie. Je regardai amoureusement sa démarche, jusqu'à ce qu'il ne soit plus visible. Je laçai mes Converse avant de faire de même et me diriger vers mon bureau, où la petite Brooklyn m'attendait...

HJ: PARTI AUUUSSSIIII