Slow Morning

Samedi matin. Je ne pouvais plus dormir. Peu importe le nombre de dois où je me retournais, mon corps ne pouvait s'empêcher de me rapeller que je m'étais couchée bien trop tôt la veille, faute de ne pas avoir quoi que ce soit à faire de mes vendredi soirs. Mes yeux s'agitaient derrière mes paupières, impatients d'avoir ne serait-ce qu'un peu de lumière. 

Je jettai un regard à l'horloge sur ma table de chevet, l'emplacement des aiguilles probablement brûlé dans ma rétine tant je les avais fixées. Il était déjà huit heures, mais puisqu'il n'y avait pas de cours, la majorité des gens dormaient encore.

Soupirant, je me tirai hors du lit. Je serrai mes bras autour de moi quand le comfort et la chaleur de mes couvertures firent place à l'air fraîs de la pièce. 

Une douche et un léger déjeuner plus tard, j'étais de retour au dortoir. Seulement trente minutes avaient passé et je ne tenais plus en place; je devais m'occuper. Regardant autour de la pièce, rien n'avais bougé depuis mon réveil. 

J'enfilai des chandails de laine chauds et des mitaines. Guitare autour du cou, crayon et cahier à la main, je parti vers la tour d'astronomie, où j'étais certaine de ne trouver personne à une heure pareille. 

Je m'assis de façon à pouvoir voir dehors: malgré le froid et le vent, le paysage me relaxait. À ce temps-ci de l'année. Le soleil venait de se lever et le ciel était magnifique. 

Souriant à moi-même, je commençais à jouer, ne pouvant m'empêcher de chanter un peu. 

Ce ne fut qu'après quatre ou cinq chansons que j'entendis des pas résonner à travers la pièce.

En ce matin j’étais confortablement coucher dans mon lit me rappelant encore de mon aventure incroyable avec Saejin dans la tour d’astronomie encore frais dans ma tête je ne pouvais rester sur place je devais m’occuper je jetai un regard à ma montre 8 heure bon allons se promener.
 
C’était très calme dans les corridors et je me dis j’allais aller à mon coin préférer dans cette belle école… La tour d’astronomie en m’approchant de là j’entendis une musique mélodieuse.
 
Tout d’un coup je me sentis téléporter à nouveau la bas sous cet arbre si important pour elle, je me souvenais à quel point elle adorais monter dans l’arbre et jouer de sa guitare en me regardant du haut de sa branche ces souvenir me manquait, Tout d’un coup elle arrêtais de jouer et je sortis de mes souvenir la musique provenant de la pièce aussi à arrêter.
 
J’ouvris la porte et vue cette fille elle me disait de quoi et je lui souris et lui lança
 
Alors c’est de toi que viens cette mélodieuse musique je trouve que tu est incroyablement talentueuse, est ce que ça dérange que je reste t’écouter un peux ?
Avant même d’attendre une réponse je rajoutai

Au fait moi c’est Axel Blake et vous êtes ?

J'aurais dû être prête: j'avais entendu des pas, j'avais tendu l'oreille et arrêté de jouer, mais non. Le simple son de la poignée grinçant dans son socle fut assez pour me faire sursauter. Quelques fractions de seconde plus tard, la porte s'ouvrait et un jeune homme glissait dans la pièce. Mon expression était probablement une de surprise, mais pas la sienne. 

Dès qu'il me vit, il me lança un sourire éblouissant, comme celui qu'on lance à un vieil ami qu'on n'a pas vu depuis des années. Son expression corporelle était détendue, et sa présence dégageait une grande confiance. Je n'eu le temps que de noter la couleur de ses vêtements avant d'être rappellée à son visage par une voix venue briser le silence. 

'Alors c’est de toi que viens cette mélodieuse musique je trouve que tu est incroyablement talentueuse, est ce que ça dérange que je reste t’écouter un peux ?'

Je sentis mes joues se teinter au son ses paroles. Jamais n'avais-je pensé jouer dans le but d'être écoutée. Peut-être jadis mes parents avaient été spectateurs de ma musique dans mon jeune âge, alors que j'apprenais seule dans le salon sur la vieille guitare de mon grand-père, mais là finissait la longue liste de mes partisans. L'idée que quelqu'un apprécie ce que je faisais ne m'avais pas vraiment traversé l'esprit juqu'à ce moment précis. Pour moi, c'était juste une façon naturelle de s'exprimer, de s'échapper.

Le timbre riche baryton du jeune homme me tira encore une fois de mes pensées et, brisant mon état de stupeur, je pu enfin retourner son sourire. 

'Au fait moi c’est Axel Blake et vous êtes ?'

'Je suis Skye Callaghan, enchantée de faire une si charmante rencontre à une heure si inhumaine de la journée,' réussis-je à dire, mon esprit léger du moment teintant ma voix: que voulez-vous, la musique me rendait heureuse. 'Je n'ai jamais joué pour personne, mais tu es le bienvenu si tu veux rester et profiter du beau temps. Je ne peux par contre garantir le concert du siècle.'

Après que je me sois présenter elle semblait rougir un peux à mes compliment je dois dire que j’ai toujours eu ce talents avec la gente féminine
 
‘Je suis Skye Callaghan, enchantée de faire une si charmante rencontre à une heure si inhumaine de la journée,
Dit-elle d’une voix illuminer et très enjouer elle devait vraiment adorer la musique.
‘Je n’ai jamais joué pour personne, mais tu es le bienvenu si tu veux rester et profiter du beau temps. Je ne peux par contre garantir le concert du siècle.’
 
Je plongeai mon regard dans le sien et je lui dis


‘Je dois dire que le paysage est déjà paradisiaque avec ce beau soleil et cette jolie ange qui va joué de la musique divine je dois dire que seul un fou refuserait de rester et aussi je ne doute dans d’une seconde que ça va être parfait.’
 

Je m’approchai un peu plus d’elle pour pouvoir être plus près de la musique et d’elle en même temps

‘Je dois dire que le paysage est déjà paradisiaque avec ce beau soleil et cette jolie ange qui va joué de la musique divine je dois dire que seul un fou refuserait de rester et aussi je ne doute dans d’une seconde que ça va être parfait.’

Je roulai mes yeux et laissai un sourire me monter aux lèvres à sa façon de m'appeller un ange, mais je n'en dis rien.  Quel jeune homme intéressant, cet Axel. Un charmeur, sans aucun doute. Il devait être populaire auprès de la gente féminine. Je me fis une note mentale de tendre l'oreille la prochaine fois que je sortirais.

Ayant eu une enfance relativement isolée, le monde extérieur et les gens qui y habitent m'avaient toujours paru comme fascinants et détachés. Avec l'école à la maison, mes seuls modèles étaient mes excentriques parents et l'exceptionel cousin distant qui venait visiter. Mon entrée à Poudlard fut comme un plongeon dans un univers fantastique et je ne me lassais pas d'observer tout le monde qui m'entoure.

Voilà donc que mon dernier "spécimen" venait de s'approcher un peu alors que je réaccordais ma guitare. Une à une, je fis sonner les cordes, ma main gauche sur la mécanique et mes oreilles alertes. Parfait: juste un demi ton en bas de standard. 

Satisfaite, je grattai les cordes ouvertes quelques fois. Je jettai un sourire Axel avant de me lancer dans une chanson. J'étais nerveuse. J'avais peur de faire des erreurs, mais la musique m'emporta et je pu m'y perdre. Certes, je pouvais encore sentir des yeux sur moi, mais j'étais déjà trop loin pour m'en préoccuper davantage. 

Les dernières notes sonnèrent alors que j'avais à peine entendu la chanson passer. Me rappellant de la présence de mon très cher spectateur, mon réflexe fut de chercher ses yeux pour quelconque signe d'une réaction.

A ce que je dis elle leva les yeux et sourit au fond je me dis qu’elle ne devait pas trop détester cela j’adore complimenter les femmes mais c’est rare que j’en laisse rentrer dans mon cœur et les laisser me connaitre réellement.
 
Elle se mise à jouer et je fermai les yeux laissant sa musique et l’émotion qu’elle m’était dedans et cela se sentait sa musique était mélodieuse et incroyablement envoûtante, a un certain point j’ouvris mes yeux a nouveau pour contempler cette ange gratter sa guitare elle semblait complètement parti.
 
Quand la chanson fini elle semblait se rappeler soudainement que j’étais présent et elle me cherchait du regard nos regard se croisa à nouveau je lui dis
 
Wow tu es aussi talentueuse que tu es belle Skye, vraiment c’est incroyable.

Le dernier accord n'avais pas fini de sonner que nos regards se croisèrent et il se pressa de me complimenter encore: 'Wow tu es aussi talentueuse que tu es belle Skye, vraiment c’est incroyable.'

'Et tu es aussi charmant que tu es élégant, cher Axel,' lui renvoyais-je, toute nervosité passagère dissipée de mon corps. 'Merci de ces si jolis compliments.'

Quelle tournure inhabituelle prenait ce matin. Quelles étaient les chances d'une pareille rencontre un samedi matin à une heure pareille? Alors que mes doigts composaient une mélodie distraite de leur plein gré, je tournai mon attention sur le paysage nous étant offert par l'espace si ouvert qu'était la tour d'astronomie. 

Oui, la température saisonnière me gelait en quelque sorte, même avec mes quelques chandails de laine, mais le moment en vallait certainement la peine. J'appuyai mon dos sur le mur derrière moi, et laissai retomber ma tête. Inspirant profondément, je laissai mes yeux tomber clos. Le soleil caressait mon visage, l'air emplissait mes poumons et la vie était belle. C'était un bonheur si naif, mais si beau. La simplicitée en était telle que je dû en rire, tout doucement, mais haut au clair, ne laissant pas place au doute, comme les émotions humaines avaient si souvent le don de faire.

‘Et tu es aussi charmant que tu es élégant, cher Axel,’
Me dit-elle d’une aire plus détendu
‘Merci de ces si jolis compliments.’
 
Puis elle s’accotait au mur jouait quelque note distraite seigneur qu’elle était jolie cette Skye elle ferma les yeux surement profiter de ce temps merveilleux un temps frais avec un soleil rayonnant le soleil reflétait sur son visage ce qui la rendait encore plus sublime, elle était juste accoter de moi quand je l’ai entendu rire tout doucement, j’étais curieux du pourquoi alors je me tournais vers elle déposa ma main sur sa cuisse et lui dit.
 
‘Y-a-t-il quelque chose de drôle chère ange’
 

Je la regardais en souriant attendant qu’elle ouvre ses yeux pour avoir ma réponse je dois avouer que ma main était plutôt haute sur sa cuisse et que si les choses tournais à mon avantage j’aurais un plan mais je ne me fixais jamais d’attente je laisse les choses suivre son cours.

Une présence chaude sur ma cuisse me fit retomber sur terre, littéralement. Dans l'espace d'une seconde, mon corps se tendit. Mon regard pris focus sur Axel, maintenant bien trop proche. J'arrêtai de respirer asser longtemps pour l'entendre dire: ‘Y-a-t-il quelque chose de drôle, chère ange?’ 

Je dois avouer que sa main sur ma cuisse m'avait surprise. J'aurais dû m'y attendre, mais pour une certaine raison, j'avais espérance de ne pas arriver là, de quelque chose de simple. 

J'aurais aimé être accordée plus de temps pour réfléchir à la situation, mais hélas la vie n'était pas fiction: pas de pause, pas de signes avant coureur, pas de retours en arrière. J'allais simplement choisir de laisser glisser cette simple action, poussée par le désir d'explorer le chemin que nous venions de prendre.

D'un mouvement détendu, je glissai la main sous la sienne puis je me mis à parler, ton aussi désinvolte que ses doigts baladeurs: 'Tout et rien. Probablement tout. Les rayons du soleil. L'air. Les nuages. La simplicité de la vie. La fascinante chose qu'est la complexité de la nature humaine,' dis-je simplement, à court d'autres mots pour décrire les pensées qui m'avaient menées à un tel excès d'émotions. 

Soulevant sa main avec la mienne, je la levai à la hauteur de mon visage, en observant brièvement la structure à la lumière du jour. J'admirai les signes de vécu de sa paume jusqu'au bout de ses doigts.

Elle ne sembla pas offenser par mon geste à ce moment elle glissa doucement sa main sous la mienne et elle dit calmement.
 
‘Tout et rien. Probablement tout. Les rayons du soleil. L’air. Les Nuages. La Simplicité de la vie. La fascinante chose qu’est la complexité de la nature humaine, ‘
 
Elle regardait ma mains d’une allure curieuse et inspectrice je prise la sienne dans la mienne et lui dit la regardant fixement dans les yeux.
 
La nature humaine, comme le désire tu veux dire ?
Je pensais pouvoir contenir mes pulsions mais je m’en rendais compte que cela serais impossible je m’approchais un peu plus de Skye et déposant ma deuxième main sur sa cuisse.
Comme le désire que j’ai pour toi belle ange en ce moment et que j’espère soit mutuel
 

Dans ma tête j’étais prêt à tirer au pile ou face à quel point ceci pourrais finir mal ou parfaitement bien mais il était trop tard pour reculer.

Je savais que ça allait échouer et tout d’un coup la porte ouvrit et une enseignante rentra. Eva Greene l’enseignante de métamorphose. Elle dit quelque chose a Skye mais je n’écoutais pas vraiment j’étais relativement content que elle allait partir mon esprit était déjà parti vers ma prochaine proie.
 
Tout d’un coup elle dit mon nom et je la regardais et elle me dit

J’attends toujours votre parchemin sur la transformation animal en Goblet.
 
A l’intérieur de moi-même je ris oh le parchemin que j’ai fait le soir même après le cours le jeu d’enfant … je dis rien j’ai énormément de respect pour les enseignant et enseignante de Poudlard.
 

Elles repartirent les deux ensemble et je fermis les yeux et me rappela ma baise incroyable avec Saejin après quelque minute de considération je décidais de partir retrouver la belle Saejin… ou n’importe quelle belle étudiante de Poudlard ma faim d’action devait être satisfaite.

HJ: GONE